Je dois dire qu’avec cette méthode d’apprentissage d’expressions idiomatiques pratiquée par un excellent professeur très engagé en 1ère, j’ai fait des progrès remarquables dans la pratique de l’allemand, au-delà de ce que l’on apprenait dans les manuels standard.
Le malheur vient toujours de ce que l’on n’incite pas l’élève à percevoir une expression idiomatique comme un tout qu’il ne faut absolument pas chercher à démonter élément par élément. Il faut donc pratiquer l’échange standard du bloc complet, mais rare sont les professeurs, je crois, qui insistent sur ce point.
j’ai eu la grande chance de passer d’abord par la (très) dure école d’un institut de traducteurs interprètes (l’ISIT à Paris, remarquable), qui fonctionnait ainsi… Et les phrases devaient être apprises par coeur… nous en « bavions » pas mal…
C’est dur, c’est vrai, mais quelqu’un qui cherche le succès sait qu’il devra suivre la voie « per aspera ad astra ».
Dans la traduction, cette méthode a l’avantage de ne pas se laisser engluer dans la construction de la langue de départ, mais de cerner automatiquement l’idiotisme correspondant, et de bâtir la traduction dans la langue cible sur la base de cet idiotisme, en adaptant et en rognant les aspérités. L’allemand a cet avantage d’avoir, par le jeu des particules, des verbes tout faits qui peuvent exprimer avec une grande précision ce que dit une phrase entière en français.
j’ai parfois l’impression… qu’à mots couverts, vous vous êtes tous ligués pour me faire réviser et perfectionner mon allemand…
Je me trompes ???
Merci pour la liste Michael !!! je vais l’imprimer de ce pas !!
La théorie du complot bat son plein sur AOX, Kissou!
Oschpel … ceci dit… même avec un complot de vous tous, vous avez du boulot avec moi !! (d’ailleurs… en parlant du boulot… faudrait peut-être que je m’y mette… au boulot moi !! )