Ils testent le terrain, le but est de libérer la parole raciste et nationaliste car ils espèrent que plus de gens oseront dire ce genre d’horreur, moins les tribunaux pourront réagir et cela deviendrait le discours dominant. La base du manuel de rhétorique d’extrême droite qui a malheureusement déjà très bien marché en Hongrie.
L’excuse est forte. « C’est le carnaval, où tout est permis ». Même des conneries racistes.
Ma blague à moi : J’ai échappé belle, mon pseudo est bico et ne pas bicot.
Mon pseudo fait d’ailleur référence à un jeune sud-africain tué sous l’apartheid.