LEs verts ont decidé dimanche de tenter une expérience inédite enAllemagne en sálliant avec les conservateurs chétieens democrates de la cdu d´Angela Merkel et les liberaux du fdp pour gouverner le land de la Sarre…
Celas demontre plusieurs choses
Que le systéme electoral actuel est complétement depasser.
Que le systéme des partis est complétement pourris.
Que le parti des abcentionistes va encore progresser.
Que les vert sont devenus un parti d´affairistes, et de politiciens.
Que dans 4 ans en Sarre ils aurons disparus.
Qu´ils sont discrétité, car comment ils pourrons critiquer la CDU au niveau federal et collaboré au niveau du lande de Sarre.
je te ferais remarqué quand ils sont rentrés pour la premiére fois au bundestag, les trois grand partis d´alors (CDU,SPD,FDP) les considerer comme la peste, et ne voullais pas discuter avec eux.
Je craint fort que ce genre de combines politiciennes favorisse l´apparition
d´un parti populiste comme le Fpö de jord hälder en autriche.
Il y a un truc que je comprends pas et j’espere que quelqu’un ici saura me repondre:
Si mes souvenirs sont bons. Lafontaine, et donc son parti Die Linke, ont realise un tres bon score en Sarre, arrivants deuxiemes.
Alors pourquoi la coalition ne comporte pas Die Linke? Pour que Die Linke soit l’opposition?
Oui ok mais si beaucoup de Sarrois ont vote Die Linke, ce n’est pas pour qu’ils soient l’opposition, mais plutot leur gouvernement, non? Alors pourquoi la coalition, qui sera leur gouvernement, se fait sans eux? C’est un peu se ficher de l’avis des nombreux votants…
J’ai surement mal compris mais c’est un peu bizarre…
En fait, si l’on additionne les sièges de chaque parti, on obtient le même total:
Linke + SPD + Grüne = 24
CDU + FDP + Grüne = 24
Tout dépendait de quel côté les Verts allaient se mettre…
Et comme Ulrich et Lafontaine ne peuvent pas se piffer…
Et puis, il y a la personnalité de Lafontaine, toujours bon pour un coup de poker… Ancien ministre-président SPD de Sarre, passé à l’extrême-gauche… Le succès de Die Linke effraie quelque peu un électorat conservateur, qui votait SPD, mais l’extrémisme, c’est comme les allumettes, faut pas trop jouer avec!
Autre land qui tente une expérience: le Brandebourg, qui fait honneur à ses couleurs (Steige hoch, du roter Adler…) avec une coalition rose-rouge.
Dans le programme des deux partis, il n’y a pratiquement pas de matière à conflit, et une majorité stable est garantie au landtag.
Pas d’accord avec toi; quand la socialdémocratie glisse vers le centre et la pure gestion du libéralisme économique, la place qu’elle laisse libre est occupée par la « vraie » gauche et non l’« extrème gauche ».
Pour moi non plus, je ne la perçois pas comme « extrême », mais je me mets à la place du brave électeur qui avait perdu depuis un certain temps le goût du rouge bien vif!
Tu as bien compris le problème du concept de coalition. Que je dénonce aussi.
Encore quand ce sont des coalitions traditionnelles, ça passe, car l’électeur s’y attend (genre conservateurs + libéraux, socialistes + communistes, etc.) Mais ce que tu dénonce, même si finalement ce n’est pas si flagrant ici d’après ce qu’en dit Andergassen, ça se passe ailleurs. Aux dernières élections ukrainiennes (ou avant-dernières ? Il y en a eu tellement…), le parti qui avait eu le plus de voix s’est retrouvé dans l’opposition parce que presque tous les autres partis se sont alliés contre lui pour former une coalition… Ridicule.
Les verts espèrent supporter la CDU et la FDP suffisamment longtemps pour monayer au mieux une coalition avec les partis de gauche. Ces derniers parient sur l’impossibilité absolue de rester vert avec des libéraux et des conservateurs en face de soi pour que les Verts rentrent dans le rang et obéissent à la SPD.
Bref, les SPD/Linke espèrent que les Verts vont se planter pour ne pas avoir à faire trop de consession lors des prochaines fois, et les verts espèrent faire monter la pression sur les partis de gauche en allant faire coalition ailleurs. Poker habituel des rapports de force à gauche. Le SPD méprise les Verts et déteste les Linke - le SPD n’a toujours pas compris que ce ne sont plus eux les chefs de la gauche. Ils n’aiment pas partager le pouvoir, alors ils préfèrent laisser les Verts se corrompre avec la CDU dans une coalition sous pression plutôt que de faire trop de compromis et abandonner le commandement en chef de la gauche.
La SPD croit encore à ses rêves. Les Verts essaient juste de la réveiller. Espérons que le remè`de ne sera pas pire que le mal.
P.S. Les Linke n’ont rien d’extrème gauche. Ils sont ce que la SPD était avant son virement schrödien vers le socialisme libéral (ah, belle oximore!). Lafontaine n’a pas bougé, c’est la SPD qui a glissé sur un peau de banane garantie 100% grand capital.
ce genre de strategie ,ne méne á rien, simplement il deoriente un peu plus les electeurs, et renforcent les abcentéismes .Comment voullez vous interressé les electeurs avec ce genres de magouilles.
C´est la 4 eme replublique, certains specialistes commence á s´inquiétés, de l´eparpillement du corp electorale allemand. Les deux grand partie ont rassemblés jusqu´a 85% des voix , aujourd´huit 56% environs. Certain pense qu´il faut reformé la constitution, et le mode d´election.
Merci pour vos interessantes reponses, ca a l’air de confirmer ma premiere impression: Ils se foutent quand meme un peu de la gueule des electeurs…
Je suis tres sceptique concernant l’alliance du FDP et des Verts, c’est un peu comme melanger du nutella et des cornichons, c’est pas bon et ca n’a rien a voir avec l’autre (j’ai essaye, c’est vraiment pas bon).
Je comprends un peu mieux les gens qui ne votent pas, si leur parti vote presque en majorite n’a meme pas le droit d’etre au gouvernement, y’a de quoi avoir les boules.
Les Ah!Si… (Wenn nur das Wörtchen « wenn » nicht wär’)
Si la SPD n’avait pas ignoré les problèmes écologiques trop longtemps, les Verts n’auraient pas eu la chance de s’établir. Si ceux qui ont fondé les Verts étaient restés en grand nombre dans la SPD (d’où ils sont venus), elle n’aurait pas abandonnée l’idée sociale, et nous aurions peut-être encore les trois partis et rien d’autre.