Le titre que j’ai donné au post reprend une phrase de l’interview.
J’ai découvert récemment, ce personnage assez atypique, que je trouve personnellement très attachant. Né en Argentine, ayant fui avec sa mère la dictature des colonels, arrivé à l’âge de 6 ans à Genêve.
Il est aujourd’hui conseiller national des verts suisses. On l’a beaucoup vu et entendu dans les médias helvètiques s’exprimer sur les difficultés d’un romand, qui a appris le « Hochdeutsch » et qui se retrouve à Berne confronté au « Schwyzerdüütsch ». Hodgers prend d’ailleurs des cours de suisse allemand. Il raconte un peu son parcours avec beaucoup de tendresse et d’humour.