Bayreuther Festspiele 2011

La critique ne tarit pas d’éloges à propos du chef d’orchestre Thomas Hengelbrock, qualifiant sa direction de :« soucieuse du détail, filigrane, mesurée, diaphane ! »
Pour faire plaisir à fifititi, le célèbre "choeur des pélerins " de Tannhäuser.

Un peu hors sujet; Franz Liszt avait fait une adaptation pour orgue de ce même choeur, très, très réussie.

Il ne fallait pas michelmau. :blush:

[i]Acte III

La vallée de la Wartburg.

Elisabeth, accompagnée de Wolfram, tombe à genoux en prières pour le salut de Tannhäuser. Elle retourne ensuite le cœur brisé vers la Wartburg, tandis que Wolfram, animé d’un amour dévoué pour elle, pressent sa mort prochaine et chante la louange de l’étoile du soir. Il voit alors un pèlerin qui s’avère être Tannhäuser de retour de Rome. Celui-ci lui décrit comment le Pape lui refusa son pardon aussi sûrement que son bâton de bois ne pourra jamais reverdir. Désespéré, Tannhäuser s’en retourne au Venusberg, d’où Vénus l’appelle et l’accueillerait volontiers de nouveau dans sa caverne. A ce moment, une procession funéraire apparaît, portant le corps d’Elisabeth. Tannhaüser meurt à son tour. Les jeunes pèlerins arrivent alors et décrivent le miracle divin signifiant le salut de Tannhäuser : le bâton du Pape a reverdi.[/i]