Berlin a commémoré dimanche les 45 ans de la construction du Mur qui divisa la ville en deux pendant 28 ans, alors qu’une polémique a éclaté sur le nombre de personnes qui sont mortes en tentant de le franchir.
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Berlin a commémoré dimanche les 45 ans de la construction du Mur qui divisa la ville en deux pendant 28 ans, alors qu’une polémique a éclaté sur le nombre de personnes qui sont mortes en tentant de le franchir.
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Qu’il fassent vite ! A la vitesse ou les restes originaux du mur disparaissent, ils ne pourront bientot plus le commermorer !
Il y a quand même pas mal de morceaux, quand même…dont le plus long(1200 m) et le mieux conservé : « l’East Side Gallery ». Mais c’est sur que ca tiendra pas 200 ans…
Pourquoi ça ne durerait pas, s’il y a une volonté affichée de conserver les deriers bouts de mur à titre commémoratif?
Si les autorités berlinoises ou allemandes (ça dépends de qui le Mur dépend…) prennent soin du Mur, il peut mais alors en le restaurant de temps à autre.
J’étais à Berlin lors des festivité organisées pour les 25 ans du mur; j’avais suivi ça à la télé; j’avais même fait des photos tellement c’était suréaliste. Dommage que c’était pa numérique à l’époque, je vous aurais bien mis ça en ligne.
Tiens j’ai retrouvé ça:
sur ce site, consacré à l’histoire du mur:
chronik-der-mauer.de/index.php
également
enveloppes commémoratives:
staude.net/modules/news/arti … storyid=31
timbres
(je me rappelle bien, dans les retransmissions télé, les petites filles qui offraient des fleurs aux miliciens)
dieterhoof-paedagogik-kultur … er_tor.htm
témoignage:
germany.indymedia.org/2004/08/89130.shtml
…
Einmal, 1987 oder 1988, sass ich mit meinen Grosseltern in einem Bushaltestellenhäuschen am Friedrichshain. Jemand hatte mit Kreide « DIE MAUER MUSS WEG » an die Decke geschrieben.
Wie konnte man so etwas schreiben? Ich war verwirrt und geschockt. Dabei war ich gerade einmal 11 Jahre alt.
…
Mein Vater arbeitete Mitte der Achtziger auf dem Haus des Lehrers am Alexanderplatz.
Es war zufällig der 13. August 1986. Er nahm mich mit zur Arbeit. Ich hatte noch Ferien. Ein glockenklarer Himmel. Die Arbeiter auf dem Dach hatten in ihrer Kabine einen kleinen Feldstecher. Mein Vater zeigte mir den Tower vom Flughafen Tempelhof und sämtliche Sehenswürdigkeiten West-Berlins, die man von dort aus erkennen konnte. Ich war wie gefesselt. Unten, auf der Karl-Marx-Allee wurde gerade eine rote Ehrentribüne aufgebaut. Rote Kampflieder dröhnten zu uns hinauf, gelegentlich unterbrochen von peinlichen, steifen Mikrofonchecks. Auf dem Alex herrschte Volksfeststimmung. Am Nachmittag marschierten die Kampfgruppen an der Tribüne vorbei. 25 Jahre antifaschistischer Schutzwall. Im Westfernsehen liefen den ganzen Tag Dokumentarfilme über Fluchtversuche von DDR-Bürgern und die Geschichte der Mauer. Ich fand beides toll. Einige Tage später erzählte mir mein Vater, dass sein Kollege Roberto morgens nicht zur Arbeit gekommen war. Erst gegen neun oder zehn rief er an und sagte, dass er nicht mehr kommen werde. Er sei jetzt im Westen. Danach hörte er nie wieder etwas von Roberto. Ich glaube, dass das für meinen Vater sehr hart war. Ich vermute, auch er wäre gern in den Westen gegangen, doch er wollte seine Familie nicht hier sitzen lassen
…
Par contre, pas trouvé de photos des cérémonies, ni même de reportages écrits…
humm…intéressent mais si tu pouvais traduire le texte en français, ce serait vraiment sympa !
Hé ho, mais c’est du boulot ça sais-tu? Je croyais que tu faisais des études d’allemands, Entele
Bon, pour cette fois… mais en plus tu vas être déçu, juste un témoignage que j’ai trouvé et rapporté en passant, mais rien de grandiose .
…
En 87 ou 88, j’étais assis avec mes grands dans un abri bus à Friedrichshain.Quelqu’un avait écrit « LE MUR DOIT DISPARAITRE », à la craie, sur le plafond. Comment pouvait-on écrire une telle chose? J’étais
déconcerté et choqué. J’avais 11 ans. …
Au milieu des années 80, mon père travaillait à la Haus des Lehrers sur l’Alexanderplatz.
Par hasard, le 13 aout 1986, il m’emmena avec lui à son travail. J’étais encore en vacances. Les travailleurs sur le toit avaient dans leur cabine des petites jumelles. Mon père me montra la tour de l’aéroprt de Tempelhof et toutes les choses intéressantes de berlin-ouest que l’on pouvait reconnaitre de là. J’étais captivé. En bas, sur la Karl-Marx-Allee on installait justement une tribune d’honneur rouge. Des champs de combat rouges nous parvenaient, interrompus de temps en temps par de froids et laborieux essais de micros. Il régnait sur l’Alex(anderplatz) une altmosphère de fête populaire. Dans l’après-midi, les groupes de combats défilèrent devant la tribune. 25 ans de mur de protection antifasciste (25 Jahre antifaschistischer Schutzwall). A la télé de l’ouest, il y eu toute la journée des documentaires sur les fugitifs de la DDR et sur l’histoire du mur. Je trouvais les deux super. Quelques jours plus tard, mon père m’expliqua que son collègue Roberto n’était pas venu au travail. Vers neu, dix heures, il appela et dit qu’il ne viendrais plus; il était maintenant à l’ouest. Par la suite, je n’entendis plus jamais parler de roberto. Je crois que ce fut très dur pour mon père. Je suppose qu’il serait bien parti à l’ouest lui aussi, mais il ne voulait pas laisser sa famille ici.
D’abord merci pour la traduction, j’ai trouvé ce témoignage interessant. Deuxièmement, non je ne fait pas des études d’allemand mais d’histoire (j’ai bien un cours d’allemand, mais c’est un cours débutant, pour l’instant on a juste vu la prononciation allemande…) Dernièrement, encore merci pour la traduction qui, je sais, demande du travail…
Sinon, avec un traducteur en ligne, ça donne çà :
… Une fois, en 1987 ou en 1988, je m’assoyais avec mes grands-parents dans une maisonnette d’arrêt d’autobus au bocage de Friedrich. Quelqu’un avait avec la craie « LE MUR DOIT LE CHEMIN » au plafond(à la couverture) écrit. Comme on pouvait écrire quelque chose ? J’étais embrouillé et étais choqué. Avec cela, j’avais 11 ans justement une fois… Mon père travaillait le milieu le quatre-vingts sur la maison A la place d’Alessandro. C’était par hasard le 13 août 1986. Il m’emportait au travail. J’avais encore des vacances. Un ciel clair à l’horloge. Les ouvriers sur le toit avaient une petite jumelle de campagne dans sa(leur) cabine. Mon père me montrait le Tower de l’aéroport la cour de temple et toutes les curiosités de Berlin-Ouest qu’on pouvait reconnaître de là. J’étais comme enchaîné(captivé). En bas, sur Karl-Marx-Allee, justement une tribune d’honneurs rouge était construite. Les chansons de lutte rouges grondaient(retentissaient) à nous en haut, occasionnellement interrompu des désagréables, affermissent des chèques de microphone. Sur Alex dominait l’accord de fête de peuple. Les groupes de lutte à la tribune défilaient à l’après-midi. 25 ans le rempart de protection antifasciste. Dans le lointain d’ouest si des documentaires sur des tentatives de fuite des citoyens de RDA et l’histoire du mur couraient(passaient) tout le jour. Je trouvais formidablement l’un et l’autre. Certains jours plus tard, mon père me racontait que son collègue Roberto n’était pas venu le matin au travail. Seulement contre neuf ou dix il appelait et disait qu’il ne vient plus. Maintenant, il serait à l’ouest. Ensuite il n’entendait(écoutait) jamais un peu de Roberto. Je crois qu’était très dur pour mon père. Je suppose, aussi il serait allé volontiers à l’ouest, mais il ne voulait pas faire s’asseoir ici sa famille
Pus sérieusement si quelqu’un peut me dire ce qu’est:
das Haus des Lehrers am Alexanderplatz
et expliquer l’expression:
ein glockenklarer Himmel
Je ne sais pas, mais j’imagine que glockenklarer Himmel, c’est un ciel dégagé. Et pour le Haus des Lehrers, eh bien je pense que c’est tout simplement la maison du professeur (ou de l’instituteur, appelée ainsi parce qu’elle est connue du narrateur. D’ailleurs, il y a une imprécision dans ta traduction : le père ne travaille pas à la maison du professeur, il travaille sur la maison du professeur. Il est bien expliqué qu’il travaille sur les toits, j’imagine qu’il était couvreur, ou peut-être ramonneur.
Das Haus des lehers est effectivement un batiment connu (de ceux qui le connaissent ) de berlin est.
berlin-tourist-information.d … talgie.php
Haus des Lehrers am Alexanderplatz 4 ist ein architektonischer Klassiker der DDR-Moderne. Der Bauhaus-Schüler Hermann Henselmann gestaltete das 12-geschossige Hochhaus in Form einer Box. Das imposante Wandfries des Künstlers Walter Womacka ist angelehnt an zeitgenössische mexikanische Wandbilder. Bis 1990 fungierte das Haus des Lehrers vor allem als Kultur-, Bildungs- und Informationszentrum für Pädagogen und Eltern. Im Anschluss daran diente es Künstlern, Architekten, Web-Designern und Jungunternehmern als kreative Arbeitsstätte. Das Haus steht unter Denkmalschutz und wurde 2004 gemeinsam mit der benachbarten Kongresshalle zum Berliner Congress Center (BCC) umgebaut.
glockenklar, je pensais bien à quelque chose comme ça, mais c’est surprenant comme expression, non, Un(e) allemand(e) de souche pour un commentaire ?
sur la maison et pas à la maison tu as raison, mais je pourrais t’objecter qu’il travaillait à (la réparation, la construction) de la maison (certes sur le toit) et pas juste sur la maison (à tout autre chose).
Glockenklar ist eine Wortschöpfung des Autors!
Es gibt im Deutschen die Begriffe „glockenhell“ oder „glockenrein“, womit etwas besonders hell und klar klingendes (Stimme; Ton) beschrieben wird.
Der Schreiber will zum Ausdruck bringen, dass kein Wölkchen am Himmel oder kein Dunst in der Luft war. (Genau wie Sonka schon vermutet hat.)
Optisch wahrnehmbare Zustände mit einer Glocke zu vergleichen, zeugt von mangelndem Sprachgefühl!
Merci à toutes les deux .
tout à fait, je le voyais comme ça aussi, mais en même temps, quand on dit « travaillait à la maison… », ça donne premièrement plutôt l’impression qu’il s’agit d’un établissement plus que d’une maison quelconque (comme « il travaille au Grand Café », « il travaille au musée d’histoire naturelle », etc) et deuxièmement, ça me fait personnellement tout de suite penser qu’il travaille à l’intérieur, ça ne m’évoque en aucun cas spontanément qu’il travaille dessus. Mais de toute façon ça se précise après, qu’il travaille dessus, même si ce n’est pas comme ça que l’auteur présente les choses à l’origine.
Donc, bref, c’est bien possible, tout dépend à quel point tu tiens à respecter la parole de l’auteur ! Mais dans notre cadre, ça n’a pas vraiment une grande importance