Berlin, sexy mais moins pauvre

[i] Berlin la rebelle s’assagit. Le 4 avril, Tacheles, le plus célèbre squat allemand, aura vécu. S’ils veulent rester, les artistes qui l’occupent depuis 1990 devront négocier avec l’investisseur retenu par l’actuel propriétaire, la banque HSH Nordbank. On ignore son nom et son projet mais il y a peu de chance que cet investisseur, qui, dit-on, débourse 35 millions d’euros pour acquérir un bâtiment en ruine et un terrain de 23 000 m2 situé au coeur de la capitale, n’ait pas quelque visée mercantile.

Deux mois plus tôt, un autre squat célèbre, Liebig 14 , avait rendu les armes. Son histoire est comparable. Là aussi, après la réunification, des jeunes alternatifs avaient profité du flou juridique pour s’emparer d’un immeuble situé dans la partie est de la ville. Là aussi, le bâtiment avait été vendu quelques années plus tard et, là aussi, le propriétaire a eu toutes les peines du monde à prendre possession de son bien.[/i]

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N’en v’là des nouvelles fraîches! Décidément, « Le Monde » est de plus en plus en prise sur l’actualité! :unamused:

C’est de ça dont parle la chanson de Reinhard Mey ?