Bonjour parisien

Bonjour à tous,

Je suis un cadre âgé de 44 ans dans une entreprise familiale de bijouterie et m’intéresse à ce qu’il se passe en Allemagne depuis que j’ai commencé à apprendre la langue en classe de 4e. Modéliste ferroviaire et naval par intérêt personnel, l’allemand s’est logiquement imposé comme la langue de référence, compte tenu de l’importance du nombre de pratiquants outre Rhin. A l’âge de 15 ans, j’ai été envoyé un mois en immersion dans une famille d’agriculteurs près de Neuss, une expérience qui m’a beaucoup aidé a être plus à l’aise dans la langue. Nous avons, jusqu’à mes 18 ans, fait plusieurs voyages en Allemagne, occasion que j’utilisais pour acheter mes trains miniatures à bon prix. Une très bonne expérience était un court séjour à Berlin quelques mois après la chute du mur. Après un hiatus d’une vingtaine d’année, j’ai amené mes enfants en 2013 faire un petit séjour d’une semaine en été pour leur donner un premier contact positif avec l’Allemagne. Mission réussie, en bonne partie grâce à l’impressionnant musée des transports de Sinsheim. Beaucoup d’évènements par la suite se sont succédé et m’ont amené à beaucoup plus parler allemand (parmi lesquels l’achat d’une petite maison en Hesse rhénane). Ces évènements m’ont aidé à remonter à un niveau que j’estime entre B1 et B2.
Je fais cependant face au choix délicat de l’orientation des études de mes deux garçons (12 et 14 ans) et songe, entre autres, à les envoyer en séjour linguistique en Allemagne, à commencer par l’aîné. Sans rentrer dans la polémique sur l’insuffisance de l’enseignement de l’Allemand, en France, il est clair qu’il ne partage que partiellement mon intérêt pour la langue. Partant de là , je suis à la recherche d’un organisme qui pourrait accueillir mon « sauvage ». J’utilise ce terme caricatural à dessein, car, à part un peu de sport, le centre d’intérêt quasi exclusif du bonhomme tourne autour des jeux sur écran ou de Youtube. Un bon coup d’immersion ganz auf Deutsch et des interactions sociales réelles lui feraient certainement beaucoup de bien, mais je voudrais une dimension humaine et un encadrement qui ne lui donne pas trop l’impression d’être abandonné à lui-même.
Je regarde les programmes du Goethe Institut, mais suis preneur de tout retour d’expérience et conseil à ce sujet.

Enfin, mon activité professionnelle m’amène à rechercher un agent commercial en Allemagne. J’ai posé une annonce dans un site nommé handelsvertreter.de qui a produit un certain nombre de candidatures, cependant, si des personnes connaissent des sites avec une meilleure audience, je désire préciser qu’il s’agit bien de rémunérer une personne à la commission, donc cela peut aussi être traduit par Makler, mais il y a des différences de statut qui nécessitent que j’approfondisse le sujet.

En dehors de cet aspect professionnel, je suis toujours intéressé par des questions de société, d’économie et de politiques de transport comparées entre la France et l’Allemagne et suis preneur de tout lien, source d’information ou statistiques me permettant de comprendre les données factuelles.

Mit freundlichen Grüssen aus Paris

Bonjour,
vchiu!
Bienvenue sur AllemagneOmax.
:coucou: :coucou: :coucou:

Bienvenue vchiu et merci pour le récit de ta belle histoire avec l’Allemagne.

Pour ton fils, je te félicite de ta lucidité : nos enfants n’ont pas nécessairement à partager nos goûts. Après, je n’ai pas forcément la réponse à ta question pour autant, mais j’espère que tu trouveras un séjour qui puisse le motiver un peu.

Pour l’agent commercial : là non plus pas d’idée de site (pas mon rayon), mais as-tu pensé aux salons professionnels dans ton secteur ? J’étais à un salon il y a quelques semaines et il y avait beaucoup d’entreprises qui soit étaient déjà représentées, soit affichaient sur leur stand qu’elles cherchaient un représentant, je pense que ça peut être un bon point de contact.

bienvenue :laughing:

je suis Agent Commercial mais en …immobilier , tu cherches secteur Bijouterie

j’ai aussi deux Garçons mais comme toi sont à l’état " sauvage"

le plus âgé a passé deux mois en famille, en faisant du service de salle

l’autre a profité des vacances :laughing: :laughing: :laughing: :laughing:

une immersion dans le cadre de jumelage est possible

Bonjour Michelmau Merci.
Bonjour Sonka. Oui, il est possible de trouver par les salons professionnels, mais malheureusement, je ne suis pas en mesure de me déplacer. Ou si je le fais, c’est pour conclure avec un contact pré-établi. Beaucoup de choses se faisant sur le net, ce sont vraiment dans les sites web les plus fréquentés que je pense avoir une chance. A moi de trouver les bons.

Bonjour gici. Rien que l’idée de travailler me fait dire que mon bonhomme ne risque pas d’accepter, même si c’est bien à cette occasion là qu’il pourrait apprendre le plus. Il va falloir que je le pousse un peu voire beaucoup
.

Bonjour et Bienvenue chez nous !

ben rien d’exceptionnel… C’est un ado quoi… :mrgreen: :laughing: :laughing:
tu cherches un programme « scolaire » ou « non scolaire » ??? as-tu jeté un oeil du côté des programmes Brigitte Sauzay ? (si toutefois ton fils apprend l’allemand à l’école… )
après y’a la solution d’avoir des amis allemands qui hébergent ton fiston pour les 2 mois d’été… ça peut être pas mal aussi… et à moindre frais…

et pour les recherches d’employés, tu peux toujours essayer de voir ici (fesse de book… )
facebook.com/groups/7863495811/?fref=ts
connexion Franco-Allemande…

ou ici peut-être : connexion-emploi.com/

Un ado masculin de base qui passe son temps sur les jeux vidéos, youtube et le sport, c’est pas une surprise en soi. Inspiré justement par youtube, je crois qu’on peut oser appeler tes fils Normalman (voir le youtubeur Cyprien).

Si tu leur donne des jeux vidéos un peu cools en allemand, il s’y mettront, non ? Pour les obsédés de foot, il faut se mettre à leur niveau et les envoyer dans un stage de foot en Allemagne, ça doit pouvoir se trouver. Parmi mes élèves en Suisse allemande (je suis à Bâle), j’en ai eu un qui s’est passionné de français quand il a compris que ce qui l’intéressait (bière et sexe compris) faisait partie du forfait « je fais du rugby dans une équipe en France ». En zone frontalière, c’est facile, j’avoue. Il n’empêche que quelles que soient les méthodes pédagogiques en place pour parfaire le niveau d’élocution des rugbymen alsaciens, je peux vous dire en me basant sur cet unique exemple que ça peut être rudement efficace. :laughing: Je vous raconte ça pour que vous restiez optimiste.

Bonjour Kissou

« ben rien d’exceptionnel… C’est un ado quoi. »
Oui mais bon, en tant que parent, on est toujours un peu exigeant et on voudrait que les enfants appuient un peu sur l’accélérateur, sortent un peu le nez de ces activités… Bon, tant qu’il ne brûle pas des voitures ou qu’il ne se drogue pas, je suppose que je dois me réjouir…

Idéalement, je cherche un programme mixte qui mélangerait un peu de cours, un peu d’activités, des sorties et du sport. je vais regarder les programmes Brigitte Sauzay avec attention.

POur les amis, j’y ai très sérieusement réfléchi. le souci est qu’il faudrait que ces amis puissent supporter mes enfants. C’est la guerre pour les faire s’habiller, se laver, ranger leurs couverts, les faire manger (autre chose que de la malbouffe, car pas de souci avec Pizza et hamburger…) Bref Je ne souhaite pas trop imposer mes échecs éducatifs à mes amis, sinon ils ne le resteront plus longtemps. Un séjour dans une structure avec des programmes et une petite notion de groupe apportera un rythme différent ce celui d’un domicile privé. Et s’ils ne se lavent pas, le ridicule devant les camarades sera une bien meilleure punition que tous nos coups de gueule réunis.

Pour les faire travailler… C’est sans doute le plus dur. Comme ils ne sont pas stupides, ils s’en sortent relativement bien à l’Ecole sans se fouler- ce qui n’est pas un bon signe pour l’école d’ailleurs- et cette attitude se déteint vraiment sur tout. Rien que la recherche du stage d’observation a été un grand moment de travail,… pour les parents.
merci pour les liens et les conseils en tout cas, je vais creuser

Hallo Elie

Pour les jeux vidéo, c’est une approche, mais si ce sont des jeux où tout le monde se tire dessus, je crains que le vocabulaire ne reste vraiment basique.
Cela pourrait toutefois être une condition à l’utilisation du PC.
J’ai tenté l’approche par la BD, mais par choix personnel et manque de place , je n’achète que des albums intégrales et le choix allemand est limité.
Peu de succès en tout cas, mais le choix de BD me convenait mieux à moi qu’à eux.
Les enfants me réclament le coffret Star wars en DVD, peut être que je vais l’acheter en Allemand, même si de façon générale, je privilégie les VO. Le souci est que les films allemands à grand spectacle
sont pour l’essentiel américains, et c’et un peu dur de les diriger vers le cinéma d’auteur (j’ai beaucoup aimé Bye Bye Lenin au passage)
Il est clair qu’en augmentant l’exposition aux média allemands, cela les aiderait beaucoup, mais le choix des chaînes allemandes sur Free est totalement lamentable. Il faut que j’installe une parabole pointant sur Astra.
En tout cas, l’approche par centre d’intérêt que vous proposez est forcément la meilleure puis qu’elle a bien fonctionné pour moi.
merci pour vos encouragements et bonne soirée

Hallo vchiu,
Je n’ai pas encore d’ado, alors je ne me rends pas bien compte jusqu’à quel âge ce phénomène perdure, mais les enfants (c’est un fait généralement connu mais je l’observe chez le mien et chez les autres) ont un sens incroyable du contrôle social et ne se comportent pas du tout de la même façon chez eux et en dehors de chez eux. Souvent très sages et adorables quand ils sont invités et infernaux à la maison. Donc, tu serais peut-être surpris de leur comportement en les envoyant chez des amis. En plus, même s’ils sont déjà tombé vraiment dans le côté obscur de la force, avec un peu de chance tes amis pourraient avoir une approche différente qui permette quand même que ça se passe bien.

Bonjour Vchiu, je n’ai pas non plus d’enfants ado mais post-ados. Ma fille malgré nos nombreux séjours en Allemagne et son inscription en classe d’allemand dès la 6ème avait commencé son année de terminale avec de très mauvaises notes en allemand. Cependant elle avait une professeure très impliquée qui a instauré un contrat pédagogique (non officielle) entre ma fille, elle et moi. Et ma fille a eu 16/20 en allemand au Bac. Hélas depuis lors son allemand est devenu plus la peau de chagrin. Il est vrai qu’elle n’a plus l’occasion de pratiquer cette langue et qu’elle se consacre à fond et avec brio à son master en alternance de communication visuelle.
En fait je me suis rendue compte que la passion de l’Allemagne me concernait bien plus qu’elle ou mon fils. Aucun des deux ne sont particulièrement bons en langue mais cela leur suffit.
Quant à moi, je voulais entreprendre un doctorat, mais la tentative bien que prometteuse au début s’est révélée un échec. Cependant cette formation m’a permis de faire des conférences à l’étranger mais surtout de rentrer en contact avec la DFH/UFA, de m’inscrire à des cours d’allemand de préparation au C1 au Goethe Institut. Ces cours de C1 m’ont été suggérés et n’étaient nullement obligatoires, vu mon passé professionnel. Cependant ils sont bien tombés, car ils m’ont permis d’échapper à ce qui était devenu pour moi une usine à gaz, mon doctorat, et de pouvoir candidater pour un master en Kulturwissenschaft. Cette formation m’offrait d’emblée la possibilité d’un stage en Allemagne dans les milieux culturels et la poursuite des études dans une université allemande, et il suffisait juste de justifier d’un bon niveau d’allemand B2 + et d’avoir fait des études ou un background en rapport avec l’histoire de l’art, la linguistique, la littérature ou la philosophie, l’anthropologie, attestant au moins l’obtention d’une licence .Il s’agit d’un petit pot pourrie d’ étudiants âgés de 53 (je suis la plus vieille), 47 (un fonctionnaire du collège de Franc en reconversion), 23 et la plus jeune de 22 ans (une double diplômée d’histoire de l’art et de langue et civilisation en études germaniques de Strasbourg). Et à nous de voir pleuvoir les reproches, parce que nous ne sommes pas assez spécialisés « vous n’êtes pas des anthropologues », "pourquoi vous êtes vous inscrits à mon cours/Nous sommes surpris et ne connaissons pas votre foramtion, j’a bien peur que cela ne vous convienne pas ". Ces reproches je peux les comprendre même si je n’y adhère pas, pour moi cela se résume à une étroitesse d’esprit et montrent bien la rigidité du système français. Car notre branche d’étude préconise la remise en question, la voie à la souplesse, et à l’ adaptation (de la présentation d’un objet culturel nécessitant de lire des textes en japonais, de la présentation de la mise au point d’un projet culturel en allemand , en passant par le rendu concret de textes de base en anglais. Et j’y rajouterai , une modestie quant à la connaissance et surtout une aptitude à une expérience du terrain réel, sans compter l’aptitude à réagir à toutes les imperfections liées à la nouveauté de cette formation
Voilà on baragouine pas trop mal l’allemand parce qu’on a tous rouler notre bosse dans ce pays, on est curieux de tous et on connait un peu de tout (la culture ne se limitant pas aux oeuvres classiques et aux musées comme lieu de contemplation passive , et SURTOUT on a, oublié de se raser les poils du nombril et parce qu’on arrive à se débrouiller et on est aussi prêt à aller au casse-pipes

Je pars à Berlin dès janvier faire un stage dans un musée (pas les musées traditionnels, mais je n’en dirai pas plus). Ensuite cette expérience se poursuivra par le semestre d’été à Francfort sur l’Oder, peut-être aussi celui d’hiver. Etudes qui seront faites avec une allocation de mobilité, pour l’instant de trois mois. J’ai 53 ans et j’ai arrêté de projeter sur mes enfants ce que je souhaiterais pour moi-même. D’autant plus que mon mari et moi partageons le même projet : une expérience de vie en Allemagne certes mais dans les meilleures conditions possibles et à plus de 50 ans c’est pas quelque chose des plus faciles. Mais je tiens bon, je m’accroche de mes ongles pointus
De plus avec la tragédie que Berlin a récemment subi, je suis à la fois attristée et encore plus déterminée d’aller faire mon stage dans cette ville, dans le musée qui m’a et que j’ai choisi.

Voilà je voulais te à toi Vchiu donner mon cas de germanophile de très longue date et expliquer aussi ma situation actuelle à tous ceux qui me connaissent depuis longtemps.

« j’irai au bout de mes rêves » voilà tout. Désolée pour ce mail aussi long. Espèrons que cela compense mon absence due au commencement de cette formation par rapport au post quotidiens auxquels je vous avez habitués.

Bien à vous tous et bien venu à toi Vchiu :respect:

Bienvenue ici!

merci Sonka pour les paroles rassurantes. L’espoir fait vraiment vivre

Bonjour Valdok
Il est tout à fait clair que mes enfants ne partagent pas les mêmes centres d’intérêts que moi. J’espère pouvoir leur donner une base sur laquelle ils construiront ou non leur avenir.
Ta réponse m’a permis de cerner un peu mieux le contexte de ton intérêt pour l’Allemand. Cela n’a nullement été trop long.
Ma propre pratique de l’Allemand était en veille jusqu’en 2013, année ou j’ai commencé à fréquenter un forum allemand spécialisé dans l’échelle de réduction que je pratique. j’ai sympathisé avec un membre du forum qui avait travaillé dans un pays d’Afrique francophone et parlait encore bien le français. Il m’a invité, moi, ma femme et les enfants à passer quelques jours chez lui en été et j’ai accepté! Cela a été un très bon premier contact pour les enfants. Pour ma part, j’ai été favorablement impressionné par ce que j’ai vu et ai eu l’impression que l’Allemagne avait avancé tandis que les choses avaient stagné ici.
Cela a éveillé ma curiosité et m’a amené à pratiquer beaucoup plus la langue. En septembre 2015, l’ami de mon père, dont le fils vivait en Allemagne est décédé à Antony dans les Hauts de seine. Il vivait en France depuis 30 ans. J’ai représenté son fils lors de la succession. Les nombreux échanges que j’ai entretenus avec lui m’ont beaucoup aidé à comprendre les différences de perception entre les deux cultures. Ce moment m’a permis de progresser, en particulier à l’écrit où j’ai gagné en vitesse pour composer un message (toujours avec beaucoup d’erreurs)
Ma germanophilie a donc connu des hauts et des bas, mais je me réjouis toujours de mon premier séjour linguistique qui m’a permis de me mettre plus en confiance et d’aborder la langue avec plus de confiance.
Merci donc pour votre témoignage qui démontre que les raisons d’aimer une langue sont aussi nombreuses que les étoiles qui éclairent une voûte céleste.

Deux ans sont passés et la situation a un peu changé.
j’ai envoyé mon fils aîné 15 jours en juillet 2017 au Humboldt Institut à Lindenberg im Allgäu. 15 jours étaient trop courts, mais cette durée a résulté d’une négociation assez difficile avec lui.
Cela ne s’est malheureusement pas bien passé. Il a été mis dans le niveau débutant alors qu’il avait quand même fait 2 ans et a passé 15 jours à faire de la langue ultra basique. Il m’a raconté s’être retrouvé avec des francophones suisses dont l’attitude déplorable suggérait qu’ils avaient été envoyés par leur parents probablement contre leur gré. De retour, il m’a décrit ces 15 jours comme une perte de temps totale et que cela ne lui avait vraiment servi à rien. Je me retrouvais donc appauvri de plus de 2000 Euros, avec un fils insatisfait et un grand sentiment de frustration. Evidemment, mon épouse m’est tombée dessus et ne s’est pas privée de me dire que tout cela ne servait à rien.

Printemps 2018, je cherche un summer camp aux US, toujours pour l’aîné. Pas trop de protestation de ma femme pour qui l’anglais -contrairement à l’Allemand- est utile… En négociant la durée et le type de camp avec mon fils, je jette un coup d’oeil sur ses notes et m’aperçois qu’il est devenu l’un des meilleurs de sa classe en allemand alors qu’il était toujours moyen avant le séjour. En lui en faisant la remarque, il me dit qu’avec le recul, son affirmation initiale selon laquelle le séjour à Lindenberg avait été inutile, était à nuancer. Encouragé, je négocie avec lui une durée plus longue pour le séjour américain et lui arrache l’accord pour un mois.
Lorsqu’il en revient fin août dernier, même s’il n’en n’est pas enchanté (il est assez exigeant…) il parle couramment l’anglais et , selon ses propres dire, me dit que cela lui a « ouvert de nouveaux horizons ».
Par chance la prof d’allemand de mes enfants en 3e et première maintenant, est allemande. Cela a semble t’il poussé l’intérêt de l’aîné car il est pour le moment le meilleur de sa classe en allemand. Il faut quand même rester lucide, car selon lui, le niveau en classe, en particulier à l’oral est vraiment faible (et je le crois, malheureusement).

Richard, mon aîné qui vient d’avoir 16 ans est donc prêt pour partir faire un second séjour d’un mois en Allemagne l’été prochain. La question est de savoir de quelle façon. Ne désirant plus donner un cadre académique, je cherche soit des familles soit une colonie de vacances (quel terme dois-je utiliser en allemand pour « colonie de vacance » Feriencamp ? )
Le programme Brigitte Sauzay est vraiment intéressant, mais ma femme ne me soutiendrait jamais dans une initiative qu’elle considèrerait comme trop ambitieuse.
Si quelqu’un a des pistes ou des recommandations de summer camp ou d’échanges en Allemagne…
Bien à vous tous

Ta femme a une attitude toxique. Divorce.

Merci pour cette très aimable suggestion.
En me renseignant sur le programme Brigitte Sauzay, je suis tombé sur le site de l’OFAJ que je ne connaissais pas. Si vous avez d’autres liens à me suggérer pour rechercher des familles d’accueil…

Elie… :laughing: :laughing:

Vchiu tu trouveras plein d’infos sur ce site sur les programmes Sauzay, et plein d’expériences de jeunes aussi !
et le site de l’OFAJ nous te l’aurions tous conseillé je pense !

Rien d’autre ne me vient en tête, mais personnellement je serai ravie d’avoir les retours de tes enfants, et le tien aussi !

Le séjour de Richard au Humboldt Institut à Lindenberg aurait pu être meilleur, mais il n’était pas assez mûr et un peu trop contraint pour adopter une attitude active.
En tout cas, j’en ai eu de bons échos par des amis. Les contacts téléphoniques que j’ai eu avec eux étaient toujours emprunts de courtoisie et de bonne volonté de leur part.
Les prix demandés étaient un peu plus cher que pour les cours organisés par le Goethe Institut, mais sans que cela semble excessif.

Salut vchiu,
Je ne connais ce programme que par les échos que nous en avons de temps en temps sur le forum, et j’ai l’impression que 1/ c’est très bien, certes, 2/ mais la difficulté est réellement de trouver une famille.
On a souvent eu des demandes en ce sens ici et les jeunes galéraient. J’ai l’impression que si on n’est pas soutenu par son lycée/son prof dans les recherches d’une famille, c’est compliqué. Ou à moins d’avoir déjà un réseau amical en Allemagne…