Die Zeitbomben auf Eisenrädern
Bevor nicht etwas passiert, muss Südtirol wohl zuschauen, wie klapprige Müllzüge aus Kampanien durch das Land rollen. Erst am Brenner ist oft Endstation: Die Österreichischen Bundesbahnen (ÖBB) lassen die Zeitbomben auf Eisenrädern erst gar nicht auf ihre Strecke.
Zwölf Eisenbahnwaggons mit zum Teil schweren technischen Mängeln saßen allein am 12. August am Bahnhof Brenner fest.
Die Kontrolleure der Österreichischen Bundesbahnen (ÖBB) lassen die fahrenden Hausmüll-Containter nicht auf ihre Geleise, unter anderem weil Planen, Türen oder gar Bremsen defekt sind.
Warum sind die Waggons dann gut genug, um vorher mehr als 1000 Kilometer durch Italien und Südtirol zu fahren? Diese Frage stellt die Landtagsfraktion von Alleanza Nazionale.
Der Gestank am Grenzort sei das kleinere Problem, viel schwerer wiege, dass technisch anfällige Güterzüge unterwegs sind, die auf der stark befahrenen Strecke Katastrophen auslösen könnten.
Das Land sei mehr oder minder machtlos, räumt Giulio Angelucci vom Amt für Abfallwirtschaft ein. Ob ein Waggon fahrtauglich sei oder nicht, bestimmten nämlich allein die italienischen Eisenbahnen selbst.
« Hier sind die Kontrollierten gleichzeitig die Kontrolleure. » Erst die ÖBB klopfe die Waggons genau ab. Diesen Missstand hat Landeshauptmann Luis Durnwalder vor eineinhalb Monaten in einem Brief an die Eisenbahn-Zentrale in Rom angemahnt.
Die Antwort steht bis heute aus. Zudem dürften für Kontrollen durch die Carabinieri-Spezialeinheit nur Lkws gestoppt werden, nicht aber Güterzüge.
(Dolomiten)
Je ne comprends pas bien, oschpele.Ces trains chargés de déchets sont censés se rendre où?Cela a-t-il quelquechose à voir avec la mainmise de la maffia sur la gestion et le transport des ordures, ou alors, suis-je complétement à côté de la plaque?
En allemagne, oui tu a bien compris,dans la ville oú je suis ,nous avons eu ce problême il y a quelques mois . La decharge a commencer a recevoire des camoins italiens de milan remplis de terre . Les habitants du village oú se trouve la decharge,ont etaient surprit de voir des italiens chez eux .ils ont protestaient ,les italiens doivent garder leur merde,pas de ça ici .La presse a etait alerte, le journal local a fait une enquete. LA TERRE VENAIT D`UN TERRAIN OÙ SE TROUVER UNE ANCIENNE USINE CHIMIQUE CLASSER SEVEZO DE LA FIRME MONSANTO .Le prefet a declarer que la terre ne presenter aucun danger .le contrat devait raporter beaucoup d´argent au kreis.90000 tonnes de merde refuser par la population.
Le maire de notre ville (6000h) n´etait pas au courant .Car la gestion des decharge et ordures est du ressort du kreis et non de la ville.IL YA des hommes politiques pourris pour faire ce genre de magouilles.
Theresa devrait être au courant, vu que ces trains en provenance de Naples et de Campanie ont pour principale destination Cologne et sa région… C’est ce que Berlusca appelle régler le problème des ordures napolitaines…
@ oschpele j’ai bien compris que la berlusca, c’est Berlusconi.Il suffit de taper « berlusca » sur Google pour s’en convaincre, mais, ma question est peut-être stupide, mais comme on dit: « Wer nicht fragt, bleibt dumm », est-ce que berlusca est simplement un raccourci, comme quand, en France, nous disons sarko, pour Sarkozy, ou alors ce mot a-t-il, dans le vocabulaire italien, une connotation peu flatteuse.Mes connaissances en Italien sont, en effet, assez limitées!
Pas bête, comme question!
C’est simplement un raccourci, comme « Sarko ». « Berlusca » n’a pas de signification particulière. Mais c’est « Il Berlusca », la terminaison -a n’implique pas nécessairement une forme féminine. "Il papa"est jusqu’à plus ample informé bien masculin!
Sinon, autre surnom: « Supersilvio ». (Ca rappelle quelqu’un, mais qui? )
Les Italiens aiment bien les grandes gueules qui promettent de faire le ménage…
Cest ce qu’avait déclaré l’empereur romain Vespasien/Vespasian;
Les premières toilettes publiques de Paris furent nommées « vespasiennes » parce qu’il(Vespasien) avait eu l’idée d’établir un impôt sur la collecte d’urine qui servait aux tanneries de Rome. Devant l’étonnement de son entourage, il aurait dit : « L’argent n’a pas d’odeur »
Les vespasiennes ont aujourd’hui presque totalement disparu du paysage parisien.
Les habitants se ont défendu bec et ongles contre la construction de l’incinérateur. Mais les protestations étaient tout à fait en vain. L’administration nous a assuré que les émissions sont complètement inoffensives.
On ne peut pas blairer les gaz d’échappement, c’est vrai ! Qui sait, peut-être - ils sont même bons pour la santé ?
je le sait que vous vous ete battu,je connais l´administration Mais le problême n´est l´incinerateur en lui même,mais les ordures est ce normal qu´elle voyage á travers l´europe.On nous a dit aussi qu´ils y avait pas de danger,ils ont fait quelques testes sur quelques camions,4000 etaient attendus,et 50000 subtances chimiques toutes plus dangereuse les unes des autres.