CDS records sur un défaut de la France

Les CDS, qui mesurent le risque de faillite estimé par les marchés, sont en forte hausse sur la zone Euro, en particulier pour la France, qui atteint un nouveau record. Seules l’Espagne et l’Italie avaient des taux en baisse, suite à la décision de la BCE d’acheter des titres de dette des deux pays. Pour la première fois, le Royaume-Uni était jugé moins risqué que l’Allemagne en termes de faillite.

Selon l’AFP, « vers 12H30 (10H30 GMT), les « credit default swaps » (CDS) sur la France étaient à 161,25 points de base, ce qui signifie qu’il faut débourser 161.250 dollars par an pour assurer 10 millions de dollars de dette d’État française à 5 ans.
contrepoints.org/2011/08/09/ … -la-france

Un aspect intéressant du second accord du sauvetage grec est qu’il pourrait en fait avoir tué le marché du CDS, ou au moins marqué le coup d’envoi de sa disparition. La raison en est simple: l’affaire ébranle la confiance dans la croyance selon laquelle le CDS peut fonctionner comme une forme d’assurance contre le défaut.

Commençons par un récapitulatif rapide: un CDS sur la dette souveraine est essentiellement une forme d’assurance, selon laquelle l’acheteur verse une prime régulièrement et qui est payé en contrepartie si le pays fait défaut sur sa dette. À ce titre, le CDS est utilisé comme une couverture contre l’exposition à la dette souveraine ainsi que contre les prêts dans les économies instables / risquées.
contrepoints.org/2011/08/04/ … efaillance

Dans les jours prochains vous entendrez parler de ces CDS, aussi pour ceux qui veulent comprendre ,je conseille de lire cet article. notre spécialiste(fifititi) en finance peut’ il nous expliquer le fonctionnement de ces produit.

Les CDS…C’est quand même un truc compliqué.
Mais c’est n’importe quoi, nous ne sommes pas dans la zone euro mais carrément dans la zone mark.
Bien sûr que non que la France risque la faillite car si notre dette publique est relative forte notre dette privée est, part contre très faible.
Qui a pu sortir une telle ânerie ?

Nous allons vers la mutualisation de la dette de la zone euro est c’est une excellente nouvelle pour l’Allemagne qui profite au maximum du système mais ne veut rien payer.

La seule solution pour diminuer la dette : l’inflation…De quoi faire hurler les allemands ou alors ça va saigner dans les dépenses publics au détriment des pauvres et de la classe moyenne bien sûr.

De toute façon ici vous serez tout sur la merde immonde dans laquelle nous sommes tombés :

pluzz.fr/c-dans-l-air.html

C dans l’air du 09/08/2011

Une toute petite chose que je voulais ajouter :

Je ne suis ni Dominique Strauss-Kahn, ni Sigmund Freud.

Au risque de vous décevoir. :smiley: :laughing:

fr.wikipedia.org/wiki/Credit_default_swap

Moi non plus, et pas plus De Gaulle d’ailleurs, qui pouvait pourtant, en 1966, déclarer ce qui suit:
http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-economique/video/I00013080/charles-de-gaulle-la-politique-de-la-france-ne-se-fait-pas-a-la-corbeille.fr.html
Remplacez France par Union Européenne.
Perso, je n’ai jamais entendu ni Sarkozy, ni Merkel…encore moins Barroso faire des déclarations allant dans le même sens…et pour cause, puisque ce sont eux qui ont appelé de leurs voeux ces "fameuses "agences de notation et les ont portées sur les fonts baptismaux. :smiling_imp:
PS; ne me dites pas qu’on est plus en 1966 et que les « choses » ont changé…Je le sais, mais je doute que dans ce domaine , elles aient changé dans le bon sens : le pouvoir de la banque et de la haute finance au dessus-des états et des peuples ! :crazy: Il y a vraiment quelque chose de pourri dans le royaume de Danemark, comme disait Hamlet.

Je nous parle d’un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître.

Charles Aznavour

Après avoir repris des couleurs la veille, les Bourses ont à nouveau fait hier le grand plongeon. Le CAC40 a dévissé, tout comme le Dax allemand, tandis que Milan s’effondrait. Wall Street a également fini sur une chute (Dow Jones - 4,68 %). Très fébriles, les marchés n’attendaient qu’une mauvaise nouvelle pour s’offrir l’une de ces séances catastrophiques dont ils ont le secret.

Hier, il a suffi d’une simple rumeur pour faire souffler un vent de panique.
Dès la fin de matinée, les salles de marchés ont commencé à s’agiter. En cause : une possible dégradation par l’agence de notation Fitch qui aurait fait perdre à la France son triple A. Relayée par la presse financière, la rumeur s’est répandue comme une traînée de poudre.
leparisien.fr/economie/les-f … 562156.php

Quand on en arrive là, il me parais envident que les mouvement des derniers jours sont totalement irrationnelles , mais les rumeurs elles sont belle et bien intentionnelles, je pense que ceux qui donnent ce genre de rumeurs doivent être condamner, quand au journal en question , il aurais croiser ses informations, ce qu’il n’a pas fait.
Concernant les agences de notations elles excitent depuis très longtemps, elles ne sont pas la causes de la crise actuelle. Mais elle ont une grande part de responsabilité , en ne voyant pas la crise des "sumble price américain " arrivé.
Autrement dit elle n’ont pas noter des placements á risque comme elle aurais dû le faire.
AUTRES PROBLÈMES elles sont juge et partie à la fois, elles notent tous les placement , y compris ceux de ses propres actionnaires.Il y a certainement un conflit d’intérêt.
Le problème de fond n’est pas les agences de notations elle même , mais l´endettement des ménages américain , et de l´état lui même.

voici un autre article concernant la dette américaine. Les entreprises anonymes poursuivent leur endettement car elles se permettent en pleine crise d’afficher des profits insolents. La crise leur a été bénéfique car les gains de productivité ont été accaparés par le très grand capital alors même que les salariés ne pouvaient pas défendre leur salaire - direct et indirect – en situation de chômage de masse et de longue durée. Ces entreprises américaines oublient deux choses, la faiblesse de la demande réelle et le partage inéquitable de la valeur ajoutée ne peuvent que finir par les pénaliser. D’autre part, leurs bons résultats est aussi l’expression du crédit public qui tire la croissance. Le Corporate Business ne paraît pas se rendre compte que les lampions de la fête se sont éteints. Son endettement n’a donc rien de positif. Il ne faut pas se tromper sur la nature du désendettement ; ce désendettement n’offfre pas les bases saines d’une future reprise endogène à l’économie, il témoigne simplement que les acteurs économiques sont en difficulté et que la crise n’est pas terminée. criseusa.blog.lemonde.fr/2011/01 … -fin-2010/

Michelmaude je pense que tu devrais lire ce texte , surtout qu’il te donne en partie raisons concernant les salariers.

Bon OK Jean-Luc tu deviens tellement fort en finance que je vais bientôt être obligés de te céder ma place de trader.
Mais attention c’est pas un métier pour les cardiaques. :smiley: :mrgreen:

Ah là là, quel forum ! Y a des traders, des dealers, des hunters, et, en fin de compte, des losers. :vamp:

Tu as raison. On est tous dans la même merde. :smiley: :laughing:

je te laisse la place :laughing: :laughing:
, je veut vivre vieux.
A toi de faire la merde ,a nous de la recevoir :laughing: :laughing: :laughing: , on est tous dans le même bateau.