Dans le fond c’est ca, mais le problème c’est que c’est la phrase clef de l’entreprise, je ne peux pas me permettre de la traduire par une longue phrase.
Cette phrase est le « Motto » de la boite. Je pense qu’il faudrait trouver une phrase qui fasse « devise » (et qui soit donc courte), et qui traduise bien la phrase allemande.
ce que je trouve vraiment interessant dans ce dicton, c’est la deuxième partie.
Tous les « Quand on veut, on peut », « qui ne tente rien n’a rien », ou « la fin justifie les moyens » reflètent en partie cette phrase. Je ne trouve rien qui la reflète entièrement
C’est implicite en français, les allemands expliquent. C’est souvent comme ça, les sousentendus ne sont pas le fort des allemands. Pour moi, mon esprit français voit la deuxième partie du dicton allemand entre les lignes de la formule française.
Si on dit « quand on veut, on peut », c’est que celui qui n’y arrive pas fait preuve de mauvaise volonté, idée évidente d’après la formulation et correspondant aux « prétextes/excuses » rendues explicites dans le dicton allemand.
Et encore, tu as la chance qu’ils n’illustrent pas leur maxime par des petits dessins, genre « Wir machen keine halben Sachen », comme en son temps un fabricant de machines agricoles dont je tairai le nom. (et encore, là, ça pouvait encore aller, à la rigueur, avec des épis ou des patates coupés en deux…).
Les Allemands sont les Allemands, et les Welsches sont les Welsches. Punto e basta. Chaque peuple, chaque langue a ses références dans son inconscient collectif. Et la publicité bien comprise et bien conçue doit en tenir compte, en vantant ses arguments en fonction de ces références. Va voir par exemple à Bruxelles, comment ça fonctionne, la pub.
C’est comme ma femme: en français, c’est ma moitié. En allemand, c’est ma « meilleure » moitié. L’allemand précise. Le français n’a pas besoin de le préciser, c’est tout naturel, que la femme soit meilleure que l’homme… C’est toujours le non-dit qui est le plus éloquent.
Actuellement, sur le site web ils ont traduit la phrase par « Qui veut réussir, trouve toujours des solutions »
C’est pas mal ! Mais c’est donc juste une germanisation de « Quand on veut, on peut ! »
Mais quand mes collègues m’expliquent cette phrase ils insistent bien aussi sur le fait que chaque problème est l’affaire de tous.
Pcq quand je dis:
« Qui ne veux pas cherche un pretexte », cela insinue aussi l’absence de motivation d’une personne à aider son collègue. Pas pcq « il ne veut pas » mais tout simplement pcq il considère que ce ne sont pas ses affaires.
Je trouve que « Quand on veut on peut » n’illustre pas l’aspect d’entre-aide qui apparaît clairement dans la phrase pour les allemands.
Je propose donc:
Chaque problème est l’affaire de tous,
Là est la clef de la réussite !
Nous cherchons des moyens pour faire quand d’autres cherchent des raisons pour ne pas faire?
Qu’est-ce que je déteste ce new management americano/japonais par motivations collectives qui nous tombe dessus des départements comm/human resources à l’americaine… formules tirés directement des manuels « new speech » economique… est-ce que on en a vraiment besoin pour faire notre boulot?
Sinon, ça se passe bien ton stage après le cours hyperintensif « allemand en quatre semaines »?
Moi aussi! Un jour, il faudra chanter ca chaque matin!
Même mon école a un « Leitbild » , et ca a pris un temps énorme pour le trouver et le répandre. Et qu’est-ce que ca a changé dans notre train-train quotidien? Rien du tout. Ca me rapelle toujours la vieille DDR/RDA ou il y avait au lieu de pub partout des « Losungen » politiques.
Mais pour revenir au problème: Je trouve « quand on veut, on peut » très bien! (Bien que ce soit « Wo ein Wille ist, ist auch ein Weg »)Ca implique: Quand on ne « peut » pas, c’est souvent la volonté qui manque.
Je crois qu’un quand on veut on peut est plutot pas mal ! Par rapport à ma formation d’allemand en 4 semaines, c’est plutot réussi je parle assez bien mais je comprends pas encore tout. Faut-dire j’ai appris et utilisé bcp de vocabulaire.
j’ai une traduction à faire (je suis en 3ième Bachelier en traduction & interprétation néerlandais allemand) et je bloque sur l’expression « Mass aller Dinge »… J’ai regardé dans le Duden, mais je n’ai rien trouvé. J’ai juste trouvé un équivalent en anglais « the measure of all things » maintenant je ne sais pas si cela est juste.
En tout cas je cherche donc la traduction de cette expression en allemand pour la traduire vers le français.
Si ça peut vous aider je vous donne la phrase en allemand : « Im Gegenteil: « Jugend » gilt heute, vielleicht stärker als je zuvor, als Mass aller Dinge. »
Peut-être « le critère d’évaluation », la « référence », « l’instrument de mesure de toute chose » ou encore, dans un niveau de langue plus recherché « l’aune de toute chose. »
« Wer etwas will, sucht Wege.
Wer etwas nicht will, sucht Gründe! »
Comme je l’avais expliquer précédemment durant mon stage à Nürnberg le directeur de l’entreprise nous a répété et commenté des centaines de fois ce dicton.
Il m’a paru donc logique de vous faire part de mon interprétation de cette citation que j’ai pu inclure dans mon rapport de stage.
Der Leiter Herr X wiederholt dieses Sprichwort oft. Es ist wichtig diesen Satz gut zu verstehen. Wir haben ein ähnliches Sprichwort in französisch „Quand on veut on peut“ aber wir haben nicht den zweiten Teil „Wer etwas nicht will, sucht Gründe“.
Dieser zweite Satz erklärt, dass wir immer Gründe finden (in der Arbeit oder im Leben) um nichts zu tun. Wenn jemand einen Fehler in seiner Arbeit gemacht hat, gibt es immer eine Lösung um ihm zu helfen. Wenn ein Kunde uns anruft und sagt er braucht zum Beispiel eine Rechnung oder ein CMR (lettre de voiture), können wir immer versuchen, ihm zu helfen, selbst wenn das nicht unsere Arbeit ist oder wenn wir andere Sachen zu erledigen haben. Ich finde, dass wir in französischen Firmen nicht so natürlich bereit sind jemandem aus einer Schwierigkeit herauszuhelfen.
Die französischen Angestellten sind ein wenig zu individualistisch. Ich will versuchen mich in diesem Bereich (Hilfsbereitschaft) obwohl in meiner Arbeit als in meinen Alltag zu verbessern.
Excusez moi pour les fautes mais je n’étais que « débutant » avant de partir en stage.