Bonjour à tout le monde !!!
Bon alors je m’explique, je ne sais pas « quand » mettre « zu » comme par ex. :
un paragraphe d’une chanson de Lafee : (Wer bin ich)
Ich bekomm kein Auge zu <----
Ich hab solche Angst dich sonst zu vermissen
Ich will nicht träumen
Kein Traum kann so schön sein
wie dieser eine Moment
Quelqu’un pourrait-il m’expliquer svp?..
Pour dire que j’essais d’apprendre l’allemand, je dis :
Ich versuche Deutsch zu lernen.
Mais est-ce valable pour « j’essais de faire de mon mieux », ou « j’essais de faire un gâteau?.. »
Il faut dire que malgré l’aide de mes amies mon allemand… est un peu comme un gruyère, il y a des pitis trous ici et là, hihihi…
j’apprends un peu dans le désordre aussi , ceci explique cela…
Pour ce qui concerne les propositions infinitives; ç-à-d un verbe à l’infinitif dépendant d’un verbe conjugué, la règle (ultra simplifiée ) est la suivante;
Infinitif dépendant d’un verbe de modalité; müssen, sollen, können, dürfen, wollen,mögen …pas de zu
Ich muss in die Stadt gehen.
Du sollst nicht lügen
Er kann nicht Auto fahren.
Wir dürfen nicht im Park joggen.
Ihr wollt im Restaurant essen.
Si l’infinitif complément dépend d’un verbe autre que ceux sus-mentionnées, infinitif introduit par zu- (le zu- étant intercalé entre la particule et le radical verbal dans le cas d’un verbe à particule séparable:
Ich habe keine Lust allein zu bleiben.
Hast du vor deine Aufgaben nicht zu machen?
Wir freuen uns, unsere Freunde nächste Woche aufzunehmen.
Bon, ça, c’est la règle générale à laquelle il y a bien sûr quelques exceptions!
Mici de ces infos. Pour le lien que tu m’as donné Kissou33 c’est la page que j’ai enregistré pour la zieuter à tête reposée plus tard (je suis au boulot là, hihihi) !!!
Bon sur ce, je finis mon boulot et hop, train + zieutage de leçons !
hm… je vois je vois je vois… mais t’inkiet, je me suis structuré des cours « MacGyver-ement » alors « zu » sera la suite de ces cours, je ferais le tri… et après étude je posterai quelques phrases « de mon cru » pour bien être sûr que j’ai capté le truc… Merci
exactement ! je n’aurais pas expliqué plus clairement. (en plus des verbes de modalité, ajoutons les verbes de perception (hören sehen…) et lassen pour les verbes dont l’infinitive ne comporte pas « zu »
ce qui en simplifié donne : quand en français tu mets « de » ou « à » avant l’infinitif, la plupart du temps,en allemand, tu mets « zu ». sinon, tu n’en mets pas.
Et surtout, au grand surtout, n’oublie pas d’accrocher les wagons dans le cas d’une particule séparable, ce qui peut donner des résultats assez déconcertants au prime abord, mais dont la légitimité n’est pas encore mise en cause par les réformes, jusqu’à présent du moins…
Un bel exemple: um « hinzufügen » hinzuzufügen (pour ajouter « ajouter »)
Cet exemple a par ailleurs le mérite de contenir les deux fonctions de zu, dans hinzu d’une part, qui indique un mouvement, une intégration à l’intérieur de quelque chose, et le zu intercalé entre la particule et le radical du verbe pour introduire la forme infinitive.
deux milles, nebenstelle?
Décidément, ces temps de réforme et de contre-réforme sont bien troublés, et je n’y vois plus très clair! C’est pas bon pour le foie, de s’inquiéter en permanence…
Moi qui croyais que « mille » était invariable… à l’inverse de cent!
Je me doutais qu’il y avait peu de chance que ma phrase soit parfaite, mais j’espérais aussi qu’il y aurait une bonne âme pour corriger. Et de fait, merci !
Sinon puisqu’il était question de réformes et du mot « mille », la nouvelle orthographe de 1990 préconise d’écrire tous les nombres comportant les mots « mille » et « cent » avec des traits d’union, donc « deux-mille ».
Cela dit je ne suis pas sûr que cet usage ait pris. Je n’ai jamais vraiment compris les règles d’écriture des nombres en toutes lettres, qui ne servent quasiment jamais à part pour faire des chèques…
Dommage. C’était le dernier domaine (à part les notaires et les officiers de l’état civil) où l’on pouvait faire preuve de sa maîtrise des chiffres en toutes lettres…
C’est ca! J’ai toujours dit à mes pauvres élèves qui n’arrivaient pas à écrire les chiffres en toutes lettres: « Si, un jour, vous devez remplir un chèque en France… » pour les motiver!