Le contraste est saisissant. Fin 2008, Nicolas Sarkozy ne pouvait cacher sa satisfaction : « La France agit, l’Allemagne réfléchit », ironisait-il, opposant la rapidité de la réaction française à la prudence allemande face à la crise financière. Février 2011 : Nicolas Sarkozy et Angela Merkel présentent le « pacte de compétitivité » que, selon eux, l’Europe devrait adopter, mais nul ne s’y trompe : si l’idée initiale est effectivement française, le contenu dudit pacte est allemand.
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jean luc