Deichkind : der Mond ist tot

Un morceau découvert lors de mon séjour à Sylt cette année… Un groupe très en vogue actuellement semble-t-il…
sympa en tout cas :

youtube.com/watch?v=Q2wSPAGdrPE

Pas mal , oui et assez « space » le clip

« Es gibt kein Leben auf dem Mond » répètent-ils à tue-tête , mais apparemment sur la terre, les Boys-band en Europe, cela existe toujours. Bon, c’est entraînant et ils chantent en allemand!!! Merci Pat :wink:

…wollt ihr die wahrheit hör’n…

NEIN… :mrgreen:

Valdok,

Un boys band mise plus sur le physique que sur la qualité des chansons pour faire vendre… (2be3, alliage and co, ou récemment jonas brothers, etc…)
Sans vouloir juger sur le physique, je pense que le groupe mise sur leurs chansons :smiley: :smiley:
On ne peut pas appeler ce groupe un boys band

fsegpep tu dis

Oui tu as raison pour la définition du Boysband.
Je plaisantais vu qu’il n’ y a que des garçons sur la vidéo. Et la chorégraphie, c’est sûr qu’ils ne se prennent pas au sérieux
Quant à la qualité des paroles, je vous tous laisse juger :

Mais bon, là où d’autres se camoufflent derrière l’anglais, c’est pas plus mal

Mais attention Deichkind est TRES LOIN d’être un boysband! C’est de l’ironie, comme dans leur clip « Luftbahn »!
J’ai adoré « Bück dich hoch » y’a quelques mois, le texte vaut également le coup mais en boîte c’est extra.

Dresden a raison, Deichkind c’est à prendre au troisième ou quatrième degré. Ils testent un peu tous les styles en surfant sur les nouvelles tendances comme l’autotune. Ils sont partis de chansons plutôt hip hop old school comme Deichkind - Fachjargon - YouTube Fachjargon pour passer sur du plus electro avec Deichkind - Leider Geil (Official Video) - YouTube Leider geil ou - YouTube Arbeit nervt. Der Mond ist tot, c’est une nouvelle incarnation de ce groupe protéiforme. Une seule constante reste, l’irrévérence et l’ironie dans les textes. Là je crois qu’ils se moquent de Polarkreis 18. :mrgreen:

Ah ben c’est ça ! J’avais entendu bum bum + melodie ( :open_mouth: ) et je m’étais dit = techno.
Mais après coup, en y réfléchissant, des tas de questions m’ont déstabilisé ; hardcore, hardstyle, dubstep, house, electro ?..
Allez, je déconne ; c’est bien en boite…que ça y reste ! Et surtout n’oubliez pas de bien maintenir le couvercle (de la boite) fermé.:mrgreen:

Du Boys-band c’est sûr, c’en ai pas, ce n’était qu’humour, leur truc dansant en discothèque, lors de vacances c’est sür aussi et encore plus l’humour de leur choré(graphie).
Par contre quant à leur texte, j’ai eu franchement un doute, ne connaissant pas ce groupe, donc merci à toi Solal, de l’avoir levé.

Si je comprends bien c’est un peu comme « Qu’il est beau le lavabo » de Lagaffe et encore « Isabelle a les yeux bleus » des Inconnus, ou peut-être une meilleure référence quoi que très datée, puisque les deux artistes précités sont des humoristes et n’ont aucune prétention de musiciens. Il s’agit d’ une chanson de David Bowie des années 80, « fashion ». Il se moquait de la mode disco et de la pauvreté des paroles et c’est devenu un tube. Le problème c’est que seuls les anglo-saxons et le public angliciste habitués aux chansons de Bowie avaient compris la portée parodique.

Moi ce qui m’a déstabilisé Michelmau, c’est que tu connaisses le terme de dubstep! :laughing:
Comme tu dis ça peut rester en boîte mais ça marche aussi pour aller courir, le pied est comme en lévitation, porté qu’il est par le boum boum des vibrations.

@Valdok: merci je ne connaissais pas Fashion, j’adore les mimiques de Bowie dans le clip, il joue bien le mec qui a pris de la coke :mrgreen:

Pour les fans de la Coupe du Monde et de Deichkind
(je sais que vous êtes nombreux),
ici le hymne intitulé
« Ich habe eine Fahne »

youtube.com/watch?v=T9oo7wb7cw8#t=204

(Il faut « rebombiner » pour voir le début)

Ce qui est d’ailleurs l’hymne de tout footeux qui se respecte. « Ich habe eine Fahne = Mon haleine empeste l’alcool ») :vamp:

Merci pour la traduction Andergassen.
J’ai cherché un équivalant « Ich habe eine Fahne », mais je n’ai pas trouvé mieux que « je suis torché »

Edit
Je viens de relever une phrase essentielle de la chanson.
Ich trinke, als bin ich
Je bois, donc je suis

« Eine Fahne haben » ; une des premières expressions liées à la consommation excessive d’alcool que j’ai apprise , il y a longtemps , longtemps au coeur du vignoble du Palatinat, de même que :« Wein auf Bier , das rat’ich Dir, Bier auf Wein , laß das sein » =" Boire du vin après de la bière , je te le conseille , boire de la bière après du vin , laisse tomber !"
Ce qui , à mon sens , n’est pas si idiot que ça ( expérience(s) personnelle(s) ); d’ailleurs tout ce genre d’expressions a son origine dans l’expérience quotidienne des gens.

Y’a des Vokuhila VIOLENTES dans le clip, attention les yeux!

En tout cas du bon Deichkind, merci bico! Encore un truc qui va cartonner en boîte.

Pas étonnant , vu le niveau! :mrgreen:

Les irréductibles répondent : Bier auf Wein, das ist fein = Bière après vin, cela c’est bien

Hors sujet (quoique)
Je connais bien des vignobles du Palatinat. J’y faisais les vendanges dès que j’étais « Dreikäsehoch ».
Je me rappelle encore, qu’il était interdit de s’approcher à la récolte avec une Fleischwurst à la main parce que mauvaise augure pour le vin.
Pourtant, la fête du vin de Bad Dürkheim s’appelle bien « Wurstmarkt »
Cette année du
12/09 - 16/09/2014 et du
19/09 - 22/09/2014
C’est énorme et si mes souvenirs sont bons, on (donc moi=Kinderarbeit :mrgreen: ) servait le vin dans des verres d’un demi-litre.

Ah , le " Dürkheimer Wurstmarkt" ! Toute ma jeunesse , mes premières amours adolescentes ( les plus belles). Les « Schubkarrständchen » plus petites et conviviales que les immenses "Weinzelte ".Dans les Schubkarrständchen , le papa de mon copain aimait déguster son « Saumagen ».
Je confirme que les « Schoppen » faisaient avaient bien une capacité d’un 1/2 litre. Nous , les jeunes , on s’installait à une table et on faisait circuler le « Schoppen » ; chacun mettait quelques pièces et , quand la somme nécessaire était rassemblée , on faisait remplir le verre qui passait de lèvres en lèvres. Bon , l’hygiène n’y trouvait pas forcément son compte , mais poser ses lèvres là où la copine venait tout juste de poser les siennes …quel bonheur ! :heart:
Ah , la nostalgie !!!
L’histoire de la « Fleischwurst » , ne la connaissais pas.