En 2010 d’après cet article , la population allemande aurai encore diminué. mais il semblerai qu’il y ai un léger rebond des naissances , et le solde migratoire est redevenu positif grace à la demande de main d’oeuvre du marché du travail allemand.
Mais il est aussi écrit dans l’article :
Cependant, il ne croit pas que les résultats de 2010 puissent « enrayer à long terme la contraction de la population allemande ». Le nombre de femmes en âge de procréer diminue d’année en année. Et le taux de fécondité, inférieur à 1,40 enfant par femme au cours des dernières années, n’atteindra probablement plus le seuil de renouvellement des générations (2,1 enfants par femme). Les scénarios à long terme publiés par l’office de Wiesbaden indiquent que dans 40 ans l’Allemagne ne sera plus le pays le plus peuplé d’Europe occidentale : en partant d’un solde migratoire positif, la population devrait descendre à environ 80 millions en 2020, 78 millions en 2030 et 67 millions en 2060.
En 2010 la France compte 65 millions d’habitants. En 2030 sa population sera de 67 millions. En 2060 elle aura largement dépassée celle de l’Allemagne.
une situation inédite depuis deux siècles et qui aura des conséquences gravisimes car si la population de la France va continuer à vieillir ce sera bien pire pour l’Allemagne qui ne jouera alors plus aucun rôle dans l’économie mondiale.
[i]Puisqu’une hausse massive de l’immigration est exclue, et qu’une flambée de la fécondité semble à tout le moins hors de portée immédiate, il ne reste à la société qu’à gérer un scénario de décroissance. Qu’est ce à dire ? Il s’agit de gérer une très longue période de baisse de population, associée à un vieillissement massif, ainsi qu’à une baisse de son économie. Ce problème ne concerne pas seulement l’Allemagne, mais, à des degrés divers, quasiment tous les pays d’Europe et beaucoup d’autres dans le monde.
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vaste discussion fifititi. Combien d’habitants et surtout combien de jeunes pour financer les retraites en Allemagne dans 50 ans ? On ne sait pas vraiment , mais c’est quand meme encourageant si l’Allemagne attire de la main d’oeuvre , en plus je crois que depuis le 1 Janvier des restrictions sur l’immigration sont tombés , donc peut-etre que d’autres travailleurs voudront venir en Allemagne pour soutenir la croissance.
Je ne suis pas si pessimiste que certains , l’Allemagne a des atous , mais il est vrai que la France a peut etre une route vers l’avenir qui sera moin raide que son voisin .
Je suis d’avantage inquiet pour les pays de l’Est de l’Europe et le japon , que pour l’Allemagne.
Vaste sujet en effet …et pur spéculation intellectuelle puisqu’en 50 ans beaucoup de choses peuvent arriver : guerres, catastrophes écologiques etc…
Et puis en 2060 j’aurais juste 100 ans… donc je ne suis pas certains que le sujet aura encore de l’importance pour moi.
Bonne journée.
[i]
Plus de Français que d’Allemands en 2055
Frankreich über alles? En démographie du moins. L’Institut national d’études démographiques (Ined) publie une étude comparée des démographies du couple européen qui fait ressortir le dynamisme hexagonal. Côté français, les femmes mettent au monde deux enfants en moyenne chacune et la population augmente. Outre-Rhin, les femmes n’en ont qu’un et demi et la population diminue, rappelle le directeur de recherches Gilles Pison dans cette «Histoire d’un chassé-croisé démographique».
À tel point qu’en 2055 la population de la France pourrait rattraper celle de l’Allemagne, selon les projections moyennes des Nations unies. Ce scénario se fonde sur l’hypothèse que la fécondité continue de remonter en Allemagne et en France, y atteignant respectivement 1,92 et 2,06 enfants en 2055. Il table également sur un allongement de la durée de vie de part et d’autre et un solde migratoire de 1‰ cette année-là dans les deux pays. La population française pourrait alors être de 72 millions et celle de l’Allemagne de 71 millions. Pour expliquer cet écart actuel de fécondité entre les voisins, Gilles Pison souligne, comme nombre d’analystes, le poids de la politique familiale française.
Efforts trop récents
En Allemagne, par contre, le souvenir de la période nataliste nazie a pesé sur le développement. Aujourd’hui cependant, si l’on exclut le quotient familial, les Allemands dépensent presque autant que les Français pour aider les familles, note l’Ined. Un peu moins si l’on prend en compte le quotient familial. Mais leurs efforts seraient encore trop récents et centrés sur le soutien financier.
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