Des mets allemands avec de drôles de noms

Du « chien froid » aux « chiures de mouches » en passant par les « piqûres d’abeille ».

Mahlzeit ! :wink:

et celui-là c’est quoi :
Zwetschgendatschi ??? (imprononçable en plus !! )

(pour la blague, les allemands mangent du « chien froid », les québécois du « chien chaud »(hot-dog) … :laughing: :laughing:

« Zwetschgendatschi », c’est le nom de gâteau de quetsches en Bavière.
On fait une pâte de levure, roule la sur une plaque de four et presse les prunes diminues de moitié sur la pâte.
« datschen », ce signifie « à presser ».
Puis, on fait le gâteau de quetsches dans le four.

de.wikipedia.org/wiki/Zwetschgenkuchen

Bon appétit!

Grand-Père

donc c’est un « quetsches pressées » … :laughing:

Il faut préciser que la plupart de ces noms sont régionaux. Par exemple, le mot « Stippe » est très marqué Allemagne du nord et incompréhensible pour un bon quatre cinquième du pays. Le mot « Muckefuck » est à mon humble avis très rhénan, dès qu’on s’éloigne de Cologne/Koblenz, le mot devient tout aussi exotique pour les Allemands pour pour les Français.
C’est marrant quand même, ton truc. :slight_smile:

Muckefuck
Die Bezeichnung wird unterschiedlich verwendet. Für deren Herkunft existiert die Erklärung, dass die Bezeichnung Mocca faux (französisch für falscher Kaffee) volksetymologisch 1870 während des Deutsch-Französischen Krieges oder während der französischen Besetzung des Rheinlandes unter Napoleon eingedeutscht wurde.[5][6] Der Duden 7 – Das Herkunftswörterbuch[7] benennt als Herkunft die seit dem 19. Jahrhundert im Rheinisch-Westfälischen belegte umgangssprachliche Verwendung Muckefuck als dünner Kaffee. Dies leitet sich aus dem rheinischen Mucken für braunen Holzmulm und dem rheinischen fuck für faul ab.[8] Eine weitere Erklärung ist die Verwendung im Französischen als Synonym für Café prussien (Preußischer Kaffee) einer Mischung aus Bohnenkaffee mit Zichorienwurzel als Streckungsmittel.

Source: Wikipedia

Grand-Père

et de quoi pensez vous de la " tante morte " ?? :vamp:
tote tante, c’est un boisson d’hiver du NORD :stuck_out_tongue:
chocolat chaud avec de la crème chantilly des éclats chocolat de 4 cl de rhum :viking: :viking:

voll-der-norden.de/2013/10/1 … e-freunde/

chocolat chaud avec de la crème chantilly et des éclats de chocolat…

jusque là… Je te suivais sans peine Edwin…

mais les 4 cl de rhum m’ont gâché le plaisir… pas étonnant que la tante en meurt ! :laughing: :stuck_out_tongue:

Je connais la « tante morte » sous le nom de « Pharisäer » dans une autre variante : café au lieu de chocolat.
Selon la légende, les habitants de l’île de Nordstrand cachaient ainsi au 19e siècle leur consommation d’alcool pendant certaines fêtes devant leur prêtre ascétique.
Mais le prêtre a découvert la superchérie et s’est exclamé « 'vous êtes tous des pharisiens ».
J’ai du mal à y croire, mais selon plusieurs sources, en 1981 il y avait un procès entre un restaurateur et un client sur la quantité de rhum dans cette boissson.
Le juge à décidé que cette boisson doit contenir 4cl de rhum (comme edwin l’a écrit) pour pouvoir s’appeler ainsi.

Bon , je ne suis pas un pharisien :d’accord pour les 4 cl de rhum. :smiley: lechocolat chaud avec de la crème chantilly des éclats chocolat , pas mon truc. :mrgreen:

Le Kalter Hund ça m’a toujours étonné.

A l’Est on a aussi la Tote Oma - un plat tellement lourd qu’il tuerait effectivement des grand-mères!

« Obazda »

C’est un mélange de vieux restes de fromage. On produit cela en Bavière. On mélange des restes d’un vieux camembert avec beurre, ajoute des épices différentes et pétrit cela comme une pâte. « Obazen », c’est-à-dire pétrir un mélange dans ses mains.
On mange l’Obazda, garni avec des oignons et de persil avec un bretzel et boit un verre de bière dans les brasseries en Bavière.
On connaît aussi une recette semblable en Suisse. Là, on parle de « Gmanschter ».

fr.wikipedia.org/wiki/Obatzda

Grand-Père