Erasmus a 20 ans - Dossier spécial anniversaire sur arte.tv

Erasmus a 20 ans - Dossier spécial anniversaire sur arte.tv

Erasmus, le programme européen d’échanges universitaires, qui fête ses vingt ans en 2007, a permis à 1,5 millions d’étudiants de partir à l’étranger dans le cadre de leurs études. Et il en a fait rêver des millions d’autres sans parler des copains et de leurs familles. C’est le seul programme financé par Bruxelles qui soit devenu, après la sortie du film L’Auberge espagnole en 2001, une sorte de mythe.

Découvrez le blog Erasmus-Berlin-Paris

blogs.arte.tv/Erasmus-Berlin-Paris

Découvrez le premier blog Erasmus sélectionné par ARTE France. Quand Andrea arrive en bus de Berlin à la gare Montparnasse à Paris, le copain d’un copain qui devait l’accueillir n’est pas au rendez-vous. Son aventure Erasmus commence. Elle durera neuf mois. Partagez votre expérience avec celle d’Andrea. Elle vous répondra.

Participez au jeu de l’émission Karambolage

arte.tv/fr/connaissance-deco … 74870.html

L’équipe de Karambolage vous propose de participer à un jeu autour de votre mot préféré dans la langue de votre pays d’accueil. À vos stylos et à vos caméras ! Si vous êtes parmi les plus rapides et les plus originaux, il y a des chances pour que votre témoignage soit retenu par Karambolage et soit diffusé le dimanche à 20 h sur ARTE.
En savoir plus : arte.tv/fr/histoire-societe/ … 31290.html

Mobilité Erasmus : 2008-2009, un bon cru pour la France

L’année 2008-2009 aura été un bon cru pour la France en terme de mobilité Erasmus, selon les derniers chiffres de l’agence Europe Education Formation France présentés au ministère le 1er juin. Avec 28 283 étudiants en mobilité, notre pays se place premier en valeur absolue, devançant l’Allemagne de quelques centaines d’étudiants. Les programmes Erasmus représentent un tiers de l’ensemble de la mobilité des jeunes Français (80 000 étudiants) a indiqué la ministre.
[…]
La hiérarchie des destinations ne bouge pas : l‘Espagne reste en tête (avec 22% des étudiants français) suivies du Royaume-Uni (18, 7%), de l’Allemagne (12%) et de la Suède et l’Italie ( ex-aequo à 6,70%).
[…]

http://www.educpros.fr/detail-article/h/37199f9799/a/mobilite-erasmus-2008-2009-un-bon-cru-pour-la-france.html

N’oublions pas que les étudiants qui partent avec le programme Erasmus vont dans les universités partenaires de leur université et que le choix est donc plus ou moins restreint suivant la quantité des partenariats de leur uni. Je voudrais juste souligner la difficulté par exemple à signer des conventions avec des universités anglophones étant donné les coûts faramineux des études là-bas et de la non-rentabilité des étudiants Erasmus pour ces universités…Là où j’exerce, nos étudiants (futurs ingénieurs) doivent avoir un très bon niveau en anglais pour obtenir leur diplôme alors leurs destinations favorites sont par nécessité plus que par goût les pays anglo-saxons. Quand il n’y a plus de places sur ces destinations, ils se rabattent sur les pays scandinaves et ensuite,ils prennent ce qui reste. Une minorité part pour l’Allemagne et l’Espagne…C’est quand-même la triste réalité…

Fiat lux ! Merci beaucoup Matilene pour ces précisions qui démystifient un classement somme toute aveugle.

J’avoue ignorer totalement l’univers concret d’Erasmus… L’article cité manquait cruellement d’analyse, voilà qui est chose faite ! :wink:

Oui, c’est vrai que les départs dépendent bien sûr des places proposées. Quand je suis partie, on était environ 30 étudiants germanistes, 30 hispanistes, et quelque 150 anglicistes. Pour nous, c’était de la balle : place garantie en Allemagne, et toute la promo partait, sauf éventuellement si quelqu’un n’avait pas pu financièrement, mais comme c’était dans le privé le cas ne se présente guère. Les hispanistes étaient plus ou moins au même régime, mais toute la promo ne partait pas systématiquement, je crois. Les anglicistes, les pauvres, étaient nombreux, mais les place en pays anglophone pas beaucoup plus nombreuses. Donc, ils les prenaient toutes, puis prenaient les places restantes dans leur pays de deuxième langue (Allemagne, Espagne, Italie), puis on en casait encore quelques-uns Finlande ou en Hongrie, et puis les autres ne partaient pas du tout. Dans le sens inverse, quasi impossible pour un germaniste ou hispaniste d’obtenir une place en pays anglophone.

Erasmus c est bien mais en 4 ans de vie etudiante j ai jamais pu partir parceque ca concerne que les ecole de commerce et les universites.je trouve ca dommage que c est pas generalise que ca concerne pas tout les etudiants.