« L’euro ne tombera pas, parce que nous le soutenons de toutes nos forces », a assuré le président de la République lors du dernier sommet de Bruxelles. La crise monétaire est le souci majeur des dirigeants français et allemands. Nicolas Sarkozy et Angela Merkel cherchent les moyens de préserver la monnaie unique, en espérant rallier les autres pays à des propositions communes, au début de 2011.
Rappelons-nous que, sans le moteur franco-allemand, l’Union européenne n’aurait jamais fait de vrais progrès. Le grand moment a été la création de l’euro grâce au trio formé par Helmut Kohl, François Mitterrand et Jacques Delors, dernier grand président de la Commission de Bruxelles. Depuis, le carburant des nouvelles propositions a manqué.
Faisons l’état des lieux. Côté « société civile », tout fonctionnerait bien si la France ne cessait de limiter ses engagements culturels outre-Rhin : suppression des émissions en allemand à RFI, instituts français financés par les villes allemandes, annulation de subventions aux associations s’occupant d’Allemagne… Il faudrait à nouveau soutenir la multiplicité des coopérations de toute nature entre les groupes de nos deux pays.
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jean luc