Il avait quatre mois et était devenu la coqueluche de nombreux Berlinois.Rappelons que l’ours figure sur les armoiries de la ville de Berlin. Il était mignon comme tout. Victime d’une hépatite et soigné , il n’a pas survécu.
Bon , je vois déjà les ricaneurs se gausser.Moi , ça me fait de la peine et je me console en constatant que je ne suis pas le seul.
moi aussi je trouve ça triste…
simplement parce que c’était un bébé ours polaire (dont la jumelle est morte quelques jours après leur naissance), que ces animaux sont en voie de disparition, et que leur naissance en captivité est toujours un véritable exploit…
après knut… Fritz… une malédiction sur les ours polaire de Berlin ?
Il ne faut pas oublier que la mortalité « infantile » chez les ours est très élevée : près de 50 %. D’un autre côté, les ours en captivité bénéficient de conditions beaucoup plus favorables que dans la nature et vivent plus longtemps, grâce à un suivi médical très poussé, à l’abri des parasites, pas d’énergie dépensée pour assurer la subsistance et la disputer à des rivaux, etc.