En 1914 la Turquie était l´allier de l´Allemagne, et avait quelques troupes en Turquie (10 á 20 000 h). Certains documents laissent á penser , que des soldats allemands aurais participer aux massacres. Celas dit cet responsabilité n´est que secondaire, rein ne dit que l´empereur Guillaume II en a donner l´ordre . Le général commandant les troupes jouissait d´une grande autonomie du fait de la distance , pas de télé , de téléphone,etc, etc.
Les rapports américains ont été publiés par un Comité dont font partie des hommes qui jouissent aussi en Allemagne d’une grande confiance. Ces rapports ne contiennent que des dépositions de témoins oculaires, surtout de consuls et de missionnaires, et se limitent à l’exposé des faits, sans entrer dans des commentaires sur le côté politique de la question. Dans les 25 rapports volumineux qui ont été publiés, on ne trouve qu’une seule phrase, dans le rapport du Consul des Etats-Unis à Alep, dans laquelle on reproche aux Allemands d’avoir permis l’extermination de la race arménienne. On ne pouvait savoir, en Amérique, que l’Allemagne avait élevé, à plusieurs reprises, les protestations les plus énergiques contre les procédés du Gouvernement turc et que ces protestations ont été aussi vaines que celles de l’Amérique. Les raisons de cet insuccès ne peuvent être discutées ici. L’indigne accusation selon laquelle les Consuls d’Allemagne auraient dirigé ou encouragé les massacres d’Arméniens, et que le Consul d’Allemagne à Alep, le Dr Rossler, se serait rendu à Aïntab pour y diriger en personne les massacras, ne provient ni d’Amérique, ni d’Angleterre. Elle est fondée plutôt sur la déclaration d’un réfugié syrien (correspondance du Caire, du 30 septembre). Elle a été publiée par le Temps du 1er octobre 1915 et propagée par la presse française. Nous avons déjà rappelé plus haut qu’on avait rendu le meilleur témoignage, du côté arménien, aux consuls d’Allemagne, et en particulier au Dr Rossler, et qu’on avait exprimé la plus grande reconnaissance pour leur activité, inspirée par l’humanité.