Quand FB censure la page de la ville de Bitche :
Heureusement , FB s’est ressaisi :
Tout est bien qui finit bien . Ende gut , alles gut !
Quand FB censure la page de la ville de Bitche :
Heureusement , FB s’est ressaisi :
Tout est bien qui finit bien . Ende gut , alles gut !
bitche , oh ma bitche …Franck Alamo;
c’est jolie Bitche , je connais
heureusement qu’il ne boive pas de la Bitburger " Bitte ein Bit "
je crois aussi qu’il y a un nouvel entraineur dans le Nord de la France qui s’appelle Mr Van der Putte
très courant il parait , facile à porter en France
M. Van der Putte n’est rien d’autre que M. Dupuis. Chez nous, dans les Dolomites, on dirait « Dapoz », ça fait très savoyard, tout comme les noms en « az ».
Ah le flamand, ça en jette : si j’étais né dans les Flandres, je m’appellerais Vanderstraeten, ça a une autre gueule que Delarue ! Et Vandenbroucke, donc, au lieu de Dupont ! Et Van den Houten, au lieu de Dubois !
Mais si les gens connaissaient la signification des noms tchèques, par exemple, ils peuvent être aussi marrants que les noms bretons. Mais la saveur en est réservée aux seuls connaisseurs ! Béotiens monolingues, passez votre chemin sans vous arracher la langue ou le gosier !
Pour en revenir au point de départ , j’ai beaucoup apprécié la réaction de Bernard Kieffer , maire de Bitche , une fois les choses rentrées dans l’ordre .
Je le cite : " Aujourd’hui , j’adresse deux invitations . La première , à l’institution FB : celle d’être transparente , mais aussi , par obligation , d’être un outil intelligent et juste . La seconde , je l’adresse humblement à Mark Zuckerberg et au directeur général de FB France , que j’aurais plaisir , avec mes concitoyens , à acueillir à Bitche , pour lui faire découvrir notre jolie cité fortifiée qui s’est illustrée dans l’histoire à plusieurs reprises , mais aussi , pour honorer ensemble, la mémoire des compatriotes et de nos amis américains , qui , sous la bannière de la 100è division d’infanterie , sont venus depuis la Caroline du Sud , libérer notre ville ; nos libérateurs qui se sont alors eux-mêmes dénommés , avec fierté , the Sons of Bitche . "