L’organisme « Transparence international » a publié le premier décembre 2011 son « indice de perception de la corruption internationale »
Pour savoir ce qu’est « transparence internationale »:
http://www.transparence-france.org/ewb_pages/p/presentation_transparence_international_france.php
Classement par pays
où il s’avère que la France occupe la 25 place !!! L’Allemagne occupe le 14 rang et c’est la Nouvelle Zélande qui est en tête devant (on s’en serait douté) les pays scandinaves.
Sans surprise l’Ouzbékistan, l’Afghanistan, la Birmanie, la Corée du Nord et la somalie ferme la marche. 
il ne s’agit que d’une « perception » de la corruption…
Entre perception et réalité, il peut y avoir une sacré marge ! 
Certes, mais en même temps, la corruption étant par définition occulte, je ne vois pas trop d’autre moyen de la mesurer, si ?
Tu la mesures par l’applatissement de ton portefeuille, quand tu dois glisser un petit billet…
Et même si ce n’est pas concret comme ci-dessus, le fait de rabattre ses prétentions pour être le moins-disant dans un appel d’offres, c’est aussi de la corruption. Tu dois connaître ça dans ton métier, Sonka…
Et la corruption n’est pas seulement dans les antichambres des politiques ou des chefs de bureau. Il était d’usage, autrefois (et peut-être encore aujourd’hui, c’est bien possble) que les garçons de café désireux de se faire embaucher pour la journée, comme extras, glissent la pièce au patron.
La reprise (Ablöse), pratique interdite mais courante, surtout en Autriche, pour obtenir un appartement (dans les années 70, un loyer de 700 schillings (100 marks), mais une reprise de 50.000).
Sans parler naturellement de la protection monnayée pour avoir la paix et ne pas voir son restaurant ou son magasin dévasté par la mafia.
En fin de compte, la corruption est davantage ressentie par les petites gens que par les riches.
C’est uniquement parce que transparence internationale ne comptabilise que la corruption monnayée alors que les copinages et autres népotisme étendu qui verrouillent les pays scandinaves, il faut le vivre pour le croire.
Hm, oui je connais, mais j’appelle pas ça de la corruption… 