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Chaussez vos lunettes spéciales « 3D » et laissez-vous aller ! Car jusqu’au 13 novembre, le musée Lenbachhaus de Munich présente une exposition plutôt inhabituelle : une installation en trois dimensions consacrée au groupe allemand Kraftwerk, pionnier de la musique électronique.
« L’idée, c’est d’offrir à Kraftwerk une exposition telle que celle que l’on peut donner à Kandinsky dans le cadre d’une rétrospective
« L’idée, c’est d’offrir à Kraftwerk une exposition telle que celle que l’on peut donner à Kandinsky dans le cadre d’une rétrospective », explique le commissaire de l’exposition, Matthias Mühling. Le musée souhaite ainsi souligner l’importance prise par les quatre de Düsseldorf dans l’histoire de la musique et dans l’évolution des arts visuels.
Les membres du groupe ont conçu l’installation eux-mêmes. Celle-ci repose sur une dizaine de leurs morceaux, dont les succès « Radioaktivität », « Man Machine », « Computerwelt », « Roboter » et « Autobahn », illustrés par des vidéos. Le spectateur pénètre ainsi au cœur d’un univers musical et visuel hypnotique, à la fois abstrait, minimaliste et intemporel, qui a donné naissance aux développements musicaux que l’on sait.
Je hais je hais intrinsèquement je hais ton message ,car je le lis trop trop tard. Mais bon de toute façon, je n’étais pas à Munich l’année dernière …
Mais comme j’adore Kraftwerk depuis l’époque de Radioaktivität, j’avais 13 ans , je te remercie du fond du cœur pour cette info . Enfin enfin nous ados germanistes pouvions faire un pied de nez aux anglicistes et leurs Beatles, un peu comme les fans de Florian et Ralf - versus ceux de John et Paul …
Je vais cliquer sur ton lien et cela sera déjà des belles étrennes musicales. Et j’espère que la Cité de la Musique aura l’idée de nous offrir cette exposition car leur renommée de cette « centrale électrique de la Ruhr fournissant de la musique » a dépassé l’espace germanophone pour atteindre des dimensions internationales et ces jeunes-gens ont connu un succès retentissant dans la France de la fin des années 70 jusqu’à environ début 90.
A tout cas,un merci tardif Fifititi, pour ton article
Non au contraire, je te hais de ma plus amicale reconnaissance
il va falloir que je surveille un peu plus ce que font nos amis kraftwerkiens pour faire profiter tous les AllmagnOmaxiens dont moi-même, évidement de l’info et toi, tu seras au courant bien avant, et diffusera l’information rapidement comme d’habitude, et c’est tant mieux, . … Mais entre nous tous Kraftwerk sans Florian c’est un peu si les Beatles avaient perdurer avant la mort de George Harrisson, sans John Lennon, non ???
A vrai dire j’en sais rien… Par contre clin d’oeil pour clin d’oeil et sourire pour sourire
un petit jeu : à tout le monde de trouver les morceaux associés à ces extraits de paroles kraftwerkiennes et d’en profiter pour faire un p’tit tour d’horizon musical quoique très incomplet sur Youtube.
Donc, à bientôt pour un gars de Düsseldorf, faisant partie des jeunes allemands lambda des années 70, je suppose que cela devait être « Bis Bald », puis puisque de Kraftwerk il s’agit alors je dirais :
B wie Business, Numbers, Money, People I wie Ich nehme sie heut’ gerne mit zu mir nach Haus S wie Spielen im Aether das Wellenklavier B wie Business, Numbers, Money, People (désolée c’est la seule strophe commençant par B de KW de ma connaissance, mais si il y a mieux et en en allemend, je suis preneuse à 1000 %) A wie And we are dancing mechanik L wie Leave Paris in the morning on T.E.E. D wie Die Sonne scheint - ein Glitzerstrahl !
. Enfin enfin nous ados germanistes pouvions faire un pied de nez aux anglicistes et leurs Beatles, un peu comme les fans de Florian et Ralf - versus ceux de John et Paul 
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