la guerre de 14 le vecu d´une bataille par une enfant de 6 a

je suis dépositaire d´un témoignage direct de ma grand mère sur la guerre de 14.elle a tenu á rencontrer ma future femme qui est allemande,elle lui a dit ceci ,j´ai connu 2 guerres , et je ne veut pas que vous connaissez ça, voila pourquoi,Je cite ma grand-mère ,j ´habitait à Gueux près de Reims,lorsque la guerre a commencer.Puis nous nous somme refugiers à Reims vers la fin d´Août.nous étions dans la maison paternel . je dormait lorsque mon père me prend dans ses bras , avec ma sœur , il nous dit" vite vite dehors", il nous dépose dans la rue,je voit les gens courir hurler , pleurer ,et le bruit des canons , des obus , la cathédrale qui brûle .
ma sœur et moi nous pleurons ,puis une énorme explosion sur la maison óu étaient encore ma famille,nous hurlons « papa, maman , papa ,maman », ma maison a disparue. Des voisin accourent " oh mon dieu , ho mon dieu , les pauvres ".ils nous prennent avec eux, on court , car ça tomber drus.Ils nous déposent dans un centre de la croix rouge française. On nous met un carton avec notre nom ,puis devant les bombardement, la croix rouge ordonne d´évacuer la ville dans la nuit , nous somme des milliers à fuir ,on a peur , je pleure , je hurle « papa, maman, » avec les autres enfants nous courrons avec nos infirmières.
Nous sortons de la ville ,on marche ,jusqu’au petit jour ,sur la route ,en agitant les drapeaux de la croix rouge,il y en a des centaines. Puis nous somme bloquer, car sur les colline de droite se trouve l´armée française,et à gauche les prussiens qui viennent d´arriver,« les clairons français sonnent le cesser le feu » nous dit un homme. Mais les allemands ouvre le feu sur nous, nos infirmières nous poussent dans les fosses ,les obus et balles ,nous crions « papa, maman,j´ai peur ». Et puis j´entend toutes l´artillerie française tirer c´est épouvantable ,les mitrailleuses qui ouvrent le feu. Puis une immense clameur ,« hurra,hurra,al´attaaaaque, charrrrger »,je voit des milliers de français , drapeaux au vent ,officiers sabre au clairs descendre les collines. Ils hurlent ,ils tirent ,un jeune officier saute dans le fosse, me regarde me dit"reste là petite nous allons les déloger"il se lève sabre pointer vers l´ennemi et cri « a l’attaaaque,pas de prisonniers, pas de quartier » ET les milliers de soldats bondissent de nouveaux en hurlant « á l´attaaaaaque , pas de prisonniers , pas de quartiers ».ils sont monter et on culbuter les prussiens à la baïonnette. TU sait ,ils n´ont pas fait de prisonniers,Voilà ce que ma grand mère nous à dit,mais elle pleurait en nous racontant,elle a fait une crise de larmes que ma femme a dû lui prendre ses deux mains pour la calmer,et ça 75 ans après les faits.
Cela c´est passer entre le 12 et 15 septembre 1914, sur les routes qui sort vers Chalons et vers Épernay,au environ du fort de la pompelle, c´est là que c´est regrouper l´armée française. REIMS avait était . Les allemands ont bombarder la ville volontairement.

jean  luc :wink: 

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Merci pour le témoignage :smiley:

oui poignant
mais quel bonheur, de ne connaitre que des témoignages et non pas de l’avoir vécu :cry: