Droits politiques et naturalisation , droit de vote des étrangers, devoir de service militaire, système politique, partis, cantons et communes, neutralité et armée, relations internationales…telles sont les têtes de chapitres de cet exposé très instructif et -me semble-t-il- très bien fait.
http://www.swissinfo.ch/fre/dossiers/la_suisse_mode_d_emploi/index.html?cid=28917054
je savais déjà que je n’étais pas suisse !!! (j’aurais du lire ce manuel AVANT de naitre).
Tout ce que je connais de la Suisse, c’est les montres, et plus particulièrement les TAG Heuer de Chrono24 que j’adore regarder (en rêvant que j’aurais un jour la mienne!).
Sinon je ne connais pas grand chose de ce pays, et ce que j’entends régulièrement à son propos ne me donne pas très envie d’aller y vivre. Mais par curiosité, je vais lire cet article que tu nous conseilles!
Faut pas s’arreter au cliché, la Suisse est un pays très agréable à vivre et très beau, même si tout Suisse que je suis je me suis installé en France
(eh oui j’ai pas choisi la nationalité de ma femme ) c’est vrai qu’il y des aspects qui peuvent paraitre « étrange »…
Oui je comprends tout à fait, et espère ne pas rester sur mes préjugés et avoir un jour l’opportunité d’en découvrir les trésors.
Mais c’est vrai qu’à l’heure d’aujourd’hui, si on me demandait où je rêve d’habiter, je ne répondrais pas spontanément la Suisse!
Tu viens d’où en Suisse!?
Je viens du valais, belle region montagneuse a l’instar de la Bavière bon je suis pas parti bien loin, je suis en haute-savoie…
Ici, un article sur les relations germano-suisses dans l’histoire
Quand les Allemands étaient les bienvenus en Suisse
Il y a 100 ans, la Suisse accueillait deux fois plus d’Allemands que de nos jours.
Artisans et maçons, ils étaient alors mieux vus que les universitaires d’aujourd’hui, accusés de piétiner la petite Helvétie avec leurs gros sabots.
L’éducation et le savoir sont les matières premières de la Suisse. C’est sur ces deux fondements que le pays s’est imposé comme un des plus importants pôles de recherche de la planète. Mais comme la Suisse ne produit pas assez de relève académique, elle est contrainte d’importer des chercheurs de l’étranger.
L’Allemagne représente le principal réservoir de cette matière grise indispensable: depuis l’introduction de la libre-circulation des personnes avec l’Union européenne (UE) en 2002, le nombre de citoyens allemands en Suisse a doublé, passant de 140’000 à 280’000.
La suite de l’article ici : swissinfo.ch/fre/societe/Qua … d=33051502
C’est juste, en Suisse on manque de main d’oeuvre qualifié mais malgré ce fait, je sais qu’a Zurich (et en suisse allemande en général) ca râle un peu avec tout ces allemand qui prennent des poste à responsabilité, mais bon pas le choix sinon le pays ne tournerait pas aussi bien. Même principe avec la Suisse Romande et les Francais.