La ville de Cologne perd sa mémoire

Je pensais plus à nos faiblesses de caractère :blush: qu’aux défauts de matière.

Eh bien, ce sont des défauts, theresa. L’avarice, la paresse, la colère, la gourmandise, bref, toutes les faiblesses de caractère, comme tu dis, sont des défauts. Par contre, employer un mot pour un autre, se tromper de manière générale, c’est une faute. (J’ai fait zéro faute à ma dictée).

:merci: für diese Erklärung, oschpele!

Sagt man dann « ce n’est pas mon défaut » oder « ce n’est pas ma faute »
im Sinne von das bin ich nicht schuld ?
Oder kann man beides sagen, je nach der Qualität des Fehlers?

Französisch ist für germanophone Sprachanfänger manchmal echt verwirrend :crazy: !

das bin ich nicht schuld : je ne suis pas coupable //// ce n’est pas ma faute :wink:

concernant le sujet des archives… Bon… 2 victimes c’est tragique évidemment !! Cependant la perte des archives de Cologne m’a l’air d’être une tragédie aussi, à sa façon… pas de la même façon, nous sommes bien d’accord !
Cependant, le fait que nous en parlions peu (en particulier en france) tient sans doute au fait que beaucoup de gens ignorent sans doute l’importance qu’avait ces archives ! Pour ma part, je l’ai découvert en lisant ce sujet… :blush: on ne peut pas tout savoir … :wink:

Mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa: C’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute! :smiley:

D’après ce que je viens de lire, c’est la faute des gens qui auraient dû s’occuper du niveau de la nappe phréatique, ils auraient « gepfuscht » (comment ca se dirait ici? Les mots dans mon dico ne me semblent pas appropriés). Et ainsi ils sont résponsables de la mort des deux hommes.

Ils se seraient planté ?

On a bâclé (?) pendant les travaux, sans doute!

Mais qui ? :smiling_imp: :smiling_imp: :smiling_imp:

On ne trouve aucun responsable pour

  • deux morts (17 et 24 ans)
  • la perte des archives de ville et des documents précieux,
  • trois bâtiments écroulés,
    -les pauvres qui ont perdu ses habitations et ses mobiliers de ménage,
    -et plus de 300 ! maisons :astonished: auxquelles se montrent des fissurationes, entre temps.

Nous sommes choqués.

C’est la connaissance amère des jours passés :
Encore en février on aurait pu empêcher la catastrophe quand les mesurages du bâtiment des archives indiquaient un abaissement près de sept millimètres en l’éspace de 24 heures. Les protocoles des travaux prouvent que il y avait beaucoup des signaux de danger. Justement dans un terrain ainsi fragile, tous les changements auraient dû être pris au sérieux.
Malheureusement le contraire était le cas : avec des connaissances des responsables, on a construit des puits illicites et on a pompé beaucoup trop d’eau souterraine - 4 fois plus des quantités autorisées par les géologues ! Mais les rapports prescrits aux organes de surveillance n’étaient pas produits. Personne ne les a demandé.
On a donné même la permission de conduire le défilé de carnaval le long du chantier. Devant les archives, une tribune a été construite. Il y avait des milliers de spectateurs au endroit où le sol se est écroulé quelques jours plus tard. :astonished:

Un petit sourire dans cette bien triste affaire.
Cinq semaines après les faits, des pompiers volontaires, qui recherchaient dans les gravats des archives encore susceptibles d’être sauvées ont retrouvé…le chat Felix, certes amaigri et affamé, mais en forme tout de même. Sa maitresse qui habite dans une maison endommagée du quartier, avait placardé des affichettes partout pour le retrouver. Elle était, on s’en serait douté, « folle de joie ».
Plein de caresses à Felix! :smiley: :smiley: :smiley:
:wink:

http://www.berlinonline.de/berliner-kurier/print/nachrichten/259105.html

J’espère que les journaleux daigneront faire un article quand tout aura été récupéré et analysé …

Les chats sont increvables :smiley:
Et le matou revient le jour suivant/ et le matou revient, il est toujours vivant :guitare: