Connie Hedegaard, la commissaire européenne chargée de l’action climatique, espérait envoyer un signal clair, mercredi 26 mai, en présentant ses ambitions pour relancer les négociations sur le changement climatique. Elle a dû au contraire composer avec les exigences de l’Allemagne et de la France.
Afin d’éviter les délocalisations des industries les plus polluantes, l’Allemagne, la première économie du continent, exige désormais de faire une « pause » en matière de réduction des gaz à effet de serre, tandis que la France multiplie les démarches pour inclure les importateurs dans le mécanisme d’échange des quotas d’émissions de CO2.
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jean luc