Un commentaire dans notre quotidien:
« Le fil au ciel » (de W. Berger)
Il est rare que M.S., un curé à Oberesslingen et prêtre de jeunesse dans le diocèse de Rottenburg, est à court d’un conseil. Pourtant cette fois, il n’a plus su quoi faire. Dimanche, après la messe, en regardant son portable, il a effrayé: Plus que 50 messages pendant son absence, le téléphone a sonné et sonné.
Mais, il n’a pas trouvé quelqu’un qui s’adressait à lui pour demander l’aide à cause d’une situation difficile psychique, mais des passagères d’Air Canada, une de 20 le plus grandes lignes aériennes du monde avec plus de 41 millions de clients par année. Cependant les correspondants qui l’ont appellé, s’occupaient des questions terrestes: Les heures de départ, les aérogares, et autres.
Au début, M.S. a été très soufflé. Les correspondants aussi. Quelques ont tout de suite raccroché après avoir remarqué qu’ils ont fait un mauvais numéro. Mais ensuite, M.S. à trouvé le résultat: « L’Air Canada à l’aéroport de Francfort a apparemment changé sa ligne directe de service sur son portable. Merci bien! », le curé a écrit sur Facebook.
Deux jours plus tard, M.S. rapporte comment il a maîtrisé la situation. Il a sonné à l’aéroport et décrit le problème. Là, ils se sentaint tout à fait dépassés. Mais, dans le courant du dimanche, les appels de clients d’Air Canada s’arrêtaient brusquement. Évidemment, la ligne aérienne avait remarqué son erreur et corrigé son détournement. Il reste mystérieux, comment la ligne directe est venue sur le portable de M.S. Le curé croit qu’il s’agit d’une tourneur de chiffres.
Entre-temps, M.S. fait de necessité vertu: "Je conseils les gens volontiers avec humour. En effet pas sur les dates aériennes désirées, mais sur la bonne nouvelle. Temporairement, quand on sonne son numéro, on écoute: « Soyez bienvenue à la ligne directe de l’église catholique. Comment peux-je vous aider? »
« C’est un signe que tu dois aller voir ta soeur à Canada! » son amie a expliqué cette confusion. M.S. a entendu ce conseil. « Je débats encore pour un vol gratuit », a-t-il écrit.
Lu dans le quotidien de Stuttgart, 1er février 2018
Grand-Père