Entendu ce très beau texte de Stefan Zweig, il y a quelques jours sur France Inter.
Je l’ai retrouvé sur le site de la Ligue des Droits de l’Homme de Toulon.
C’est extrait du dernier ouvrage de Stefan Zweig. On pourrait résumer cet extrait par une phrase que l’écrvain dit avoir entendu jadis d’un exilé russe:
c’est vraiment un beau texte, qu’on ne peut bien entendu pas s’empêcher de relier à l’actualité mais aussi très émouvant, quand on pense en plus au destin de Zweig. Merci Michelmau.