L’aura perdue de Joschka Fischer
LE MONDE | 21.04.05 | 15h42
Il y a des signes qui ne trompent pas. Celui que donna, le 17 mars 2005, Joschka Fischer, vice-chancelier et ministre des affaires étrangères de la République fédérale d’Allemagne, en est un. Ce jour-là, le chef du gouvernement, Gerhard Schröder, prononçait au Bundestag, l’Assemblée allemande, un discours, assurant qu’il poursuivrait sa politique controversée de réformes économiques et sociales. Comme le veut l’usage, les chefs de chaque parti, majorité et opposition, prirent ensuite la parole.
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