les Zeitungszeugen sur la presse allemande

Guten Abend,

Des anciens journaux Nazie ont étés en vente libre dans les kiosques et maisons de la presse, ces derniers temps.

lexpress.fr/actualite/monde/ … 35527.html

:imp: :imp: :imp: :imp: :imp:

« La presse nazie est de retour »
Ouh là!!! Quel titre inadéquat…

Tu parles des Zeitungszeugen. Ce n’est PAS une presse nazie. Au contraire: Ils permettent à chacun de lire les bêtises que les Allemands, il y a 70 ans, pouvaient/devaient lire. D’après ce que j’ai vu dans la pub télévisée, ce sont des éditions commentées. Pourquoi devrions-nous cacher les erreurs du passé? Il faut assumer ce qui s’est passé, et nous avons le recul nécessaire, pour voir ces journaux d’un oeil critique et surtout de ne pas croire à ce qui est raconté…

(La méchanceté de Dresden: « Les autorités de Bavière ont déposé plainte à l’encontre d’un magazine d’histoire allemand qui vient de publier d’anciens journaux nazis. » Bah alors, on a honte de ce qu’on a laissé faire à ce moment là? :mrgreen: )

Il y a des lois qui interdisent ça à ce que j’ai lus dans mon journal quotidien, Ouest-France.

Si les lois interdisaient vraiment ce genre de publications, les Zeitungszeugen n’auraient jamais été publiées et je n’aurai jamais vu la pub à la télé, je crois… :confused:

C’est justement en discussion, et pour les droits d’auteur, que le Land de Bayern réclame, et pour l’accusation de propagande « nazi ».

La justice bavaroise enquête. Et a effectivement fait confisquer des parties du journal, publié par un éditeur anglais.

En Allemagne, ça a fait couler beaucoup d’encre ces derniers deux semaines.

Malgré le titre « raccourci », je trouve le sujet interessant.

einestages.spiegel.de/static/top … rucke.html

il y a des lois qui empeche la plublication des revues nazis.(mein kampf,mon combat).Le problême est est que on peut plublie ou pas au nom de l´histoire. C´est tout le problême.Est que les journaux de l´oppossitions aurons le même traitement.Un cas semblabe c´est produit avec J:M le pen.Sa maison de disques vendait , des chansons SS,et autre chants de guerre allemands,tout le monde a protester.Sa reponse a etait ,"mais ma maison de disque a aussi des chansons anglaises , americaine, françaises, etc…etc…regardait sur le catalogue"le problême etait qu´elles etaient en rupture de stoke, depuis des annees. Sauf les allemandes.[b]pour la petite histoire mon combat est sortie en france en 2008.Dans le magasin u je l´ai vu , ça a peter :bomb:

jean luc :wink: [/b]

ouest plouc :laughing: :laughing:

le journal le plus lu de France, et le plus lu par les bretons en vadrouille
dans le monde
d’ailleurs cela me rappele une anecdote:
dans la marine , j’étais sur un petit bateau, et les officiers Français, bien sur, écoutaient beaucoup les marches militaires Allemandes
sans complexes :wink:

Quand j’ai fait mes classes à Montlhéry, on nous a appris la chanson des « tringlots » (vous pouvez d’ailleurs remplacer « tringlots », par « paras », la mélodie restant la même), je n’ai pas manqué de reconnaitre la musique de:« wir fliegen nach Engelland ». Quand je l’ai dit au sous-off chef de chorale, il a eu l’air très étonné. Etonnement feint ou réelle ignorance? S’agissant d’un sous-off, j’opterais plus volontiers pour la deuxième réponse.
:wink:

une fois , j´etais aux refuge des 3 fours,au dessus de Munster, avec un groupe d´allemands. Le soir , ils entament des chants traditionnels allemands.Ils commencent un chant halli, hallo, halla, ah, ah, ah halli,ils ne comprenais pas pourquoi , j´ai demander d´arreter,je leur est dit que pendant la guerre, les soldats la chantee,et que cette chanson est interdite ici.Ils m´on dit que les parole etaient differentes.oui, moi je le sait, mis ceux qui sont dehors,peut etre pas. Et j´ai pas envie qu´ils appellent la gendarmerie allaient aux 3 fours,il y a une manifestation de neo nazis allemands. :astonished: :astonished: vous chantaient toutes les chansons traditionnelles, mais pas celle lá.( :blush: j´ai oublier le tritre)

             jean  luc :wink:

nous pendant les classes on chantait plus , les chansons d’huges auffray « hissé-haut » :astonished:
à Hourtin (33)
mais là sur le bateau , on avait droit à tu-tête , même les hallihallo,
cela ne me dérangait pas outre mesure
je pense que les coeurs de l’armée rouge euent été plus romantique :wink:
puis aprés quand ils étaient bourrés on pouvait sortir tranquille
et puis c’était au fin fond du port de Papeete
donc aucun risque :laughing:

Juste une petite remarque sur la chanson dont tu parles, jean luc. Elle s’appelle « Leichter Wanderer », les paroles sont de A. von Schlippenbach sont de 1830 et elle a été mise en musique en 1885, donc largement avant l’époque national-socialiste. Elle est plus connue sous le nom « Ein Heller und ein Batzen » et a des paroles tout à fait inoffensives. Elle dit en gros; j’avais un denier (Heller) et un petit pécule (Batzen), le denier, je l’ai transformé en eau et le petit pécule, je l’ai transformé en vin. Je l’ai dans un recueil de chants d’étudiants allds que j’avais acheté, quand j’étais étudiant chez un bouquiniste de Nancy, dans une petite rue qui débouche sur la place Stanislas (rue des Dominicains???Mais je n’en suis pas sûr.) J’ajoute cette précision parceque je connais ton attachement à Nancy.
Que ce chant, que je qualifierai plutôt de: « chant de marche » ait été repris par la Wehrmacht, aucun doute. Pour nous autres, Français, qui avons vu dans notre jeunesse beaucoup (trop?) de films de guerre, c’est celui-là qu’on entendait chaque fois qu’on voyait défiler des soldats de la Wehrmacht.
Je ne sais pas ce qu’en pensent nos amis germanophones, mais j’imagine que ta réaction d’alors a du se heurter à l’incompréhension des Allemands concernés.
:wink:

tu voit 40 allemands avec moi,dont 10 tenors, chanter á haute voix, rymtmer avec les poings sur sur la table, et tapant du pied au sol,un au milieur en traint de battre la mesure,(il etait chef de musique)boum , boum,boum,.C´est mon ami le gardien du refuge, qui m´a demander d´ arreter cette e chansons, en cas de problême , il pouvait perdre sa licence,d´exploitation. Le lendemain quelqu´un a demander á mon amis, si c´est des anciens nazis, qui etaient lá hier soir,eux :blush: :blush: .

jean luc :wink:

Et le pire, c’est que cette chanson est des plus innocentes! Très traditionnelle en effet par son texte, chanson à boire évoquant la soif pendant les longues marches sur les routes (j’avais un sou et une piastre, le sou s’est transformé en eau et la piastre en vin), l’accueil à l’auberge, le plaisir de marcher en toute liberté à travers landes et forêts en dépit des bas troués et des souliers crevés.
redtears.free.fr/Heili%20Heido.htm
Malheureusement, la Wehrmacht était passée par là…
Mais rien, dans ce texte, ne justifie une interdiction! C’est bien là le malheur…

P.S. Dans le genre, « Erika » n’est pas mal non plus… « Sur la lande fleurit une petite fleur, et son nom, c’est bruyère… » Malheureusement, le chant a été récupéré par la Waffen SS, et, avec l’orchestration et le rytme en rapport, a connu ainsi la notoriété que l’on sait.

Dans le même ordre d’idées, savez-vous comment Haida, dans les Sudètes, est devenu Nový Bor?
Lorsque l’Autriche a été démembrée au lendemain de Saint-Germain, les Allemands qui vivaient dans les provinces de Bohême, de Moravie et de Silésie se sont retrouvés citoyens tchécoslovaques, tout en gardant leurs droits d’usage de la langue allemande dans tous les domaines de la vie. Avec toutefois obligation, comme aujourd’hui au Sud-Tyrol, de mettre partout des panneaux et des enseignes bilingues, et dans les chemins de fer (CSD), de crier le nom des stations dans les deux langues
Haida était devenu Haidy en tchèque, et le personnel (généralement de langue allemande), se faisait une joie de crier, plus ou moins mélodieusement, « Haidy-Haida ». Les Tchèques écoeurés donnèrent le nom de Nový Bor à la petite ville (Haid = bor = forêt), pour mettre fin à ces joyeuses calembredaines .

P.S. Pardon, michelmau, pour ces redites, mais tu m’as doublé en prenant un raccourci! :wink:

P.S. 2 @ jean luc
C’est effectivement le ton qui fait la musique. On peut chanter « Ein Heller, ein Batzen » comme chant de marche en marchant, ou alors, comme tu dis, à la halte (et c’est surtout valable pour « Erika »), en martelant le rythme et en tapant du poing sur la table, et là, l’intention est évidente. Mais dans ce cas, en cas de litige, nesurtout pas faire allusion aux paroles, mais à l’intetion de ressusciter de biens mauvais souvenirs, surtout dans les pays occupés ou annexés… :unamused:

Et j’ajouterai à la série, après « Ein Heller und ein Batzen », et « Erika », un autre chant de marche dont les paroles n’ont absolument rien de répréhensible; "O, du schö-ö-ö-ner We-e-es-terwald , "avec l’indispensable coup de sifflet!
:wink:

Chant dont l’air a été repris dans l’armée française, mais dont je ne me souviens plus dans quelles unités, et avec quelles paroles…
De toute façon, les chants militaires ont allégrement picoré dans le répertoire (le chant de l’infanterie de marine sur l’air des Trompettes d’Aïda, entre autres), le Südtirolerlied reprend l’air de « Märkische Heide », l’hymne brandebourgeois, avec le même refrain « Heil dir, mein Südtiroler Land » au lieu de « Heil dir, mein Brandenburger Land »… :unamused:

On ne peut tout de même pas demander à des militaires d’avoir de l’imagination! :wink:
Bon, je sors! :mrgreen:

Chacun son métier, pas vrai!

je n´ais pas eu de problême,c´etait un groupe de randonner, que j´ai emmener dans les vosges,c´etait tous des pôtes a moi. Il y avais 5á 6 profs dans le groupe. Ils avait aucune intention, neo nazi. En plus, apres la rando, il y avait une bonne choucroute, comme on sait la faire en Alsace et bien arroser avec le riesling(michel :wink: ). Ce sont des choses qui arrivent lorsque les gens ne connaissent la langue de l´autre.

jean luc :wink: