L'essor de la techno à Berlin depuis la chute du Mur

Source : CIDAL

Certes, mais ça a commencé avant la chute du mur. L’image des jeunes des deux côtés se retrouvant dans une même fête nocturne et bon enfant… c’est pas vraiment sérieux. La romantisation d’un simple mouvement underground est poussée un peu loin dans cet extrait… :unamused:

Je suppose que la culture des drogues synthétiques, c’est pour le deuxième épisode de cet article au bucolisme urbain de rédaction de collège.

A n’en pas douter ! :laughing: Tu veux leur soumettre un papier ? mdr

autrement sans techno, et le nom du resto va faire plaisir à Sonka

c’est là que Angie et François ce sont dit au… aDIEU :laughing: :laughing: :laughing:

à Berlin

paris-moskau.de/

Cet article me rend nostalgique d’une époque berlinoise que je n’ai pas connu, même si je ne supporte la techno qu’à petite dose.

Les logement désaffectés sont de plus en plus récupérés, restaurés et les loyers grimpent en flèche hélas, heureusement il y a encore de la marge pour que Berlin rattrappe Paris, Rome ou Londres… Puis il suffit d’aller vivre à Francfort où tout est moins cher, sans parler de la ville polonaise jumelle, car s’il n’y avait pas les étudiants la population de Francfort serait très vieillissante.

J’ai l’impression qu’il y a une certaine fierté à montrer que ses origines sont à l’Est, lorsque l’on est Berlinois, cela rajoute une certaine authenticité. Puis je trouve qu’à présent le centre d’intérêt serait plutôt à l’Est de la ville, où il reste de l’espace, les trottoirs des avenues sont si larges, qu’ils invitent aux « passagiate » (les promenades le long des rues à l’italienne), et aux sorties en vélo familiale. Le mouvement musical techno a plus de 25 ans à présent, et honnêtement je ne pensais plus qu’il avait encore du succès parmi les jeunes. Et bien il semblerait que cela soit le contraire, en tout cas en Allemagne, en tout cas à Berlin. Lors de la Hanf parade se produisent aussi des musiciens issus de ce mouvement, puis en Allemagne (et je ne parle pas que de Berlin) il n’est pas rare d’entendre des groupes ou des chanteurs anglosaxons des années 70,80 et 90 que l’on n’entend plus du tout en France, et cela plait aussi aux jeunes,