C’est le dernier film de Florian Henckel von Donnersmarck (La Vie des Autres) avec Tom Schilling et Sebastian Koch.
Le film est en deux parties.
Ci-dessous la critique parue dans le journal Le Monde
Je réécrirai plus tard au sujet de ce film car j’irai le voir demain avec une amie.
Je reviens sur ce très joli film, que j’ai aimé oui, un agréable moment quoi qu’un peu trop long… Mais à conseiller en cas de canicule!!!.. J’ai aimé ce film car son vrai sujet est à mon avis le rapport du peintre avec ce qu’il veut exprimer par son art, surtout avec le changement radical initié dans les années 60.
La bande annonce s’arrête sur le Nazisme et l’oppression communiste en RDA, oui c’est un fait c’est là et c’est la toile de fond de la première partie mais l’histoire va au-delà de l’aspect sensiationnel qu’implique ces deux époques et que tout le monde attend.
Les toutes premières scènes du film sont très belles et touchantes à travers les yeux du jtout petit garçon qu’était le peintre et de sa tante, une jeune fille, artiste, atypique, incomprise et qui connaitra un sort tragique.
Christian Koch s’avère excellent dans son rôle, et je n’ai pas trouvé les personnages aussi manichéens que présentés dans la critique du Monde. J’en dirai presque autant de Tom Schiling, même si je troive son personnage parfois mou… Les images, les gros plans sont très beau mais à mon avis ce film ne nécessitait pas deux parties…