Nos amis suisses semblent traiter le "problème "de l’ours de façon moins passionnée et plus intelligente que les bergers des Pyrénées.
Je relève particulièrement cette phrase;
Même si l’ours devait dépecer encore d’autres moutons,cela ne constituerait pas pour autant son arrêt de mort. L’abattre ne serait envisageable que dans la mesure où il constiturait un danger pour l’homme, ce qui, en l’état, est loin d’être le cas. Il fuit en effet toute présence humaine et se tient à distance des villages.