niveau B1

:open_mouth: On a jamais fait ça nous… quoique je sais pas si ça aurait changé grand chose :frowning:

Moi non plus je n’ai eu aucun cours pour apprendre àà utiliser un dictionnaire mais c’est vrai que cela pourrait être utile.

:cry: :crazy: Gégé, dis-moi que c’est un exemple exagéré !

Je jure que non… Il ne m’est pas arrivé à moi mais à une copine prof d’allemand… Il lui a fallu quelques minutes pour comprendre ce que l’élève voulait dire…

ben moi je cherche encore… (mais pas dans le dico !! lol: )

Mon premier dico, j’ai du l’utiliser lors de mon premier voyage en Allemagne, c’est à dire en classe de 4ème (LV1). j’ai pas de souvenir avant…

et pour cet exemple de Gégé :

et pour l’anecdote aussi… moi j’écrivais dans mon journal de bord lors de mon voyage en 4ème… ich habe gegangen… ben oui… j’ai été…
c’est lorsque ma corres m’a fait la remarque, que je me suis aperçue que j’ai été, même en français ce n’est pas bon… :laughing: :laughing: :laughing: :wink:

Je suis un grand fan du dico en classe. Pour deux raisons:

  • plus ils l’utilisent, mieux ils savent l’utilier
  • il vaut mieux que je ne sois pas loin pour que ce ne soit pas n’importe quoi.

Je veux bien adhérer à tout ce que vous avez dit. Mais je crois aussi que le vocabulaire de cours (tiré du livre de classe, listé à partir de textes étudiés) n’a jamais été ni suffisant ni satisfasant pour personne. En tant que prof, je ne peux pas limiter leur recherche de vocabulaire selon leurs besoins. Et c’est soi le dico, soit réverso (ou équivalents). Je n’ai pas le choix: je dois sortir les dicos en cours pour garder un oeil dessus tout en laissant mes élèves piocher le vocabulaire qu’ils veulent pour mener à bien la tâche créative donnée. L’idée de base, c’est que la tâche n’est pas faite pour reprendre des mots et expressions contrôlés dans la structure même du cours mais pour laisser les élèves rester maitre de leur cervelle et de faire comme bon leur semble. Je n’ai jamais dit que c’était plus efficace, mais c’est la seule façon possible dans la culture scolaire où je pratique.

Ce n’est pas exagéré du tout, SchokoLena, et très logique en somme. Comme les élèves d’aujourd’hui ne savent plus faire la distinction entre un adjectif à la forme féminine (bonne) et un substantif (bonne), ils vont chercher automatiquement la traduction de « bonne ». Et qu’est-ce que nos yeux éblouis lisent à cette entrée? Dienstmädchen. Voilà. CQFD. D’où ma réflexion plus haut: En voilà une idée qu’elle est bonne! :vamp:

A noter que le sudiste que je suis dit et écrit couramment et tout officiellement « Ich bin gestanden, ich bin gelegen, ich bin gesessen ». Dans la langue officielle en Allemagne, cet emploi ne serait pas admis.

aaaa :open_mouth: cette idée est bonne… diese Idee ist Dienstmädchen…

je me demandais ce que la « femme de service » venait faire là… bien sûr… la bonne… :laughing: … pourquoi faire simple, quand on peut faire compliqué… :laughing: :laughing:

Voilà, tu as tout compris. Tout comme la distinction que l’on ne fait plus entre « à » et « a », surtout en langage SMS!

à ce propos : à votre avis le meilleur dictionnaire franco-allemand ?
en anglais, en espagnol et en italien j’ai trouvé mon préféré, mais toujours pas en allemand (après avoir été très « Langenscheidt »).
pour moi un bon dictionnaire, c’est celui qui permet de « sentir » quel est le bon mot à utiliser.
même si les profs disent qu’il ne faut utiliser qu’un dictionnaire monolingue ou au pire « langue étrangère - français » et jamais le contraire (mais dans la vraie vie… :smiley: ).

Bah pour moi, Langenscheidt justement !

J’ai le Sachs-Villate de chez Langenscheidt en 2 volumes qui est très bien.

J’ai aussi un Pons, soi-disant pour les universitaires et les professionnels, je le trouve plutôt nul à vrai dire.

Il faut dire qu’aucun dictionnaire n’est satisfaisant pour l’allemand. Les deux grands du marché, Langenscheidt et Pons (Klett), ont leurs partisans et leurs détracteurs, mais tous laissent à désirer.
Sachs-Villatte n’est plus ce qu’il fut du temps de sa splendeur il y a 100 ans. J’ai encore les dictionnaires de mon grand-père, ce sont des véritables pavés (ce n’est pas pour les frêles menottes des jeunes filles! :mrgreen: ) , mais extrêmement complets et remplaçant avantageusement un dictionnaire de l’artisanat, de la technique, de la botanique, etc. Encore avec la vieille orthographe, et absolument inutilisable pour les besoins courants d’aujourd’hui, c’est une mine pour l’historien ou le traducteur de textes très pointus, encore qu’aujourd’hui, la recherche sur le net concurrence avantageusement la consultation d’un dictionnaire conventionnel.
Sinon, j’ai encore les Sachs-Villatte de mes années d’étudiant, donc ça remonte à 4 décennies, ça a beaucoup vieilli, et dans ce contexte Pons est sans doute plus actuel, laissant une grande place au langage moderne, et les exemples sont mieux mis en valeur. Mais SchokoLena est sans doute à même de juger sur pièces! Je n’irai pas pour ma part jusqu’à dire que je trouve le Pons nul, mais les attentes ne sont pas les mêmes pour tout le monde!

Cela fait un peu plus de 4ans que je suis sorti des cours, mais on pratiquais toujours ce genre de séances. Donc, je pense que c’est encore d’actualité, seulement tu as raison, ce n’était pas « intensivement » :wink: