Je vais passer le niveau B1 au mois de mars. L’oral est le 24 Mars et il y a une partie sur un sujet de notre choix que nous devons préalablement préparer. Normalement ce n’est pas notre professuer qui nous le fait passer mais un autre sauf que dans mon lycée il n’y a qu’un seul professeur d’allemand. Un deuxième viendra le jour de l’oral mais vu que notre professeur va nous juger elle a iunterdiction de répondre aux questions pour l’oral.
Donc j’aimerai vous poser quelques questions.
Je vais faire mon sujet sur mon voyage en Suède.
Je voudrais savoir :
s’il faut un article devant Schweden
si caribou se dit bien der Karibu.
comment on dit pays frontaliers
et s’il est préférable d’utiliser le parfait ou le preterit
s’il faut un article devant Schweden
Non, pas quand il est seul, mais c’est tout de même neutre, ce qui est bon à savoir. L’article apparait comme par magie quand on rajoute un adjectif ou qu’on rajoute un complément de nom pour définir la Suède en question.
si caribou se dit bien der Karibu.
Il me semble qu’on peut dire der ou das Karibu, comme souvent avec les animaux exotiques. Ceci dit, un caribou n’est rien d’autre qu’un renne américain, donc Rentier n’est pas faux en soi.
comment on dit pays frontaliers
angrenzende Länder
et s’il est préférable d’utiliser le parfait ou le preterit
Pour un oral, il est plus naturel de parler au parfait. Sauf pour les verbes courts et figé comme war, es gab, hatte, et au passif avec wurde si besoin est.
Pas de problème, tu connais le principe : tant que ce ne sont pas des corrections ou traductions pures et simples de phrases entières, les questions précises sont les bienvenues.
Bon travail.
Fais quand même attention à ne pas tout rédiger mot à mot. Ceux qui avait fait ca (bon ca va faire 6 ans maintenant, donc ca peut avoir changé) n’avaient pas réussie. Ca reste un oral, le préparer te sert à prendre des notes et à répéter chez toi, et c’est tout.
Merci du conseil mais pour le moment je suis surtout en train de voir le vocabulaire qu’il me faut et surtout que je connais puis de faire mon plan.
Je ne comptais pas le rédiger entièrement.
Je continue de préparer mon oral et j’aurai besoin de savoir quel est le pluriel de das Stofftier car je n’arrive pas à le trouver et mon dictionnaire n’indique pas les pluriels.
Pour pays frontalier, j’aurais plutôt dit « das Nachbarland (¨er) »
Si tu cherches du vocabulaire, y’a un très bon dictionnaire en ligne www.pons.de avec articles, pluriel et contexte.
De toutes façons, un petit dictionnaire en son temps à 10 DM ou 10000 £ ne vaut rien, il n’y a pas les pluriels, tout au plus une liste des verbes forts avec leurs formes (heureusement!). Mais en fin de compte, je le dis et répète, l’investissement dans un bon dictionnaire est toujours payant. Et pour les domaines « pointus », on trouvera toujours la terminologie adéquate sur les dictionnaires spécifiques en ligne.
Merci aussi gégé pour ce site que je ne connaissais pas. On m’avais idiqué leo.org mais pas celui-là.
Désolé Andergassen mais j’ai un bon dictionnaire mais j’ai été obligé d’en racheter un plus simple avec moins d’indications car dans le premier il y en avait trop et au final je ne comprenais rien même pas le genre du mot.
Tout à fait d’accord avec Andergassen…mais je peux te comprendre aussi…je me souviens de certaines versions latines, et de l’utilisation du dictionnaire de Félix Gaffiot…que j’ai d’ailleurs toujours. On passait parfois de très longs moments à chercher la traduction française qui correspondait au contexte du mot que l’on cherchait…mais parfois aussi, on avait la chance de tomber sur la traduction de toute une phrase !
Mon Gaffiot, je l’ai encore. Et c’était naturellement truffé d’exemples tirés de la littérature « classique ». De toutes façons, un dictionnaire sans exemples et sans phrases complètes est un non-sens, rares sont les élèves qui savent manier ce riche outil qu’est un dictionnaire. Ils s’accrochent généralement au premier sens venu, avec 95 % de chances de se planter.
De mon temps, on nous apprenait en cours de langue à utiliser un dictionnaire. Bon, pas très intensivement, mais au moins une séance. Je ne sais si cela se pratique toujours ?
Disons qu’en premier cycle (principalement 6ème et 5ème), on déconseillait formellement aux élèves d’utiliser un dictionnaire parce qu’ils n’avaient pas la maturité intellectuelle suffisante pour en faire un usage rationnel.Fin 4ème et en 3ème on commençait, à doses homéopathiques, à initier les élèves à l’utilisation d’un dico bilingue.
Moi je le fais dès la 6ème à doses homéopathiques. Ils prennent ainsi peu à peu conscience de l’importance d’un usage précis du dictionnaire.
Ca évite des bourdes du genre « Ich kaufe in Prima U ein » ou bien « diese Idee ist Dienstmädchen »
En voilà une idée qu’elle est bonne!
Oui, en définitive, le non-recours à un dictionnaire se défend, puisque Reverso, par exemple, n’aurait jamais l’outrecuidance de traduire « Diese Idee ist Dienstmädchen ». Par contre, il ignore superbement la réforme de l’orthographe (son daß est révélateur! )
Le souci c’est quand les élèves l’utilisent en écrivant le français de départ avec leurs pieds. On se retrouve avec des horreurs telles que « Ich gehe hat Berlin », Outch…