moi j’en ai eu , un Herr Müller, en Suede , d’origine Allemande, d’une grande classe, il avait le fonction de Manager du Grand Hotel Saltsjöbaden
dans l’Archipel de Stockholm, 18 km Est, où j’ai travaillé quelques temps en 1966
il n’était pas du tout autoritaire , mais directif
on le voit ici en Photo , brochure de l’époque, au milieu, entre Fröken Lindström et le directeur Général de l’ Hotel à l’époque
Désolée, je ne peux pas voir l’image donc je ne parle que de ce que j’ai entendu. Il s’agit de rapport amical entre un Français et un Allemand, n’est-ce pas ??
Oui c’est très drôle, en prenant l’humour dans le contexte de l’époque… Indispensable. Je salue Louis de Funès de s’être essayé à la langue allemade, pas si courant que cela à l’époque, même si c’est par le biais d’idées préconcues prescrit par le film. Encore une fois, époque oblige.
Pour moi, une personne vivant au 21ème siècle, actuellement en Allemagne, le Herr Müller (c’est plus des combinaisons avec Schmidt que des Mülller tout court d’ailleurs) ce sont avant tout des personnes très ouvertes, qui même si elles ne sont pas toutes forcément germanophones de langue maternelle, leur allemand coule tout agréablement dans mon oreille, et de toute façon des personnes non habituées ne feront pas la différence… Très très loin des clichés des années 60 voir même 90 décrivant la langue allemande autoritaire et dure, hâchant tous les mots.
Pour moi, mon Herr Müller cela serait plutôt Pan Kowalski/Pani Kowalska … Et pour eux aussi ces années 60 - 90 ans et même nos années actuelles (ce qui heureusement de moins en moins le cas des Allemands) ont leur réserve de clichés rigolos certes mais uniquement s’il s’agit d’une consommation modérée.
Pas vraiment. Louis de Funès explique à la table d’un restaurant le secret d’un soufflé de pommes de terre. Il s’adresse à un Français, un Italien et un Allemand, MONSIEUR MÜLLER. Chaque fois quand il s’adresse à l’Allemand un jeu de lumière (l’ombre d’un lampadaire) fait qu’il a la coiffure et la barbichette d’Adolf. C’est celà le gag.