Pour savoir plus sur les méthods de la Stasi un extrait du film « one two three »
Est-ce un avertissement « discret » (Wink mit dem Zaunpfahl)? Cristo laisse-t-il subodorer une purge prochaine du forum?
En gros, chez la Stasi, il y avait deux méthodes, selon la nature et la fonction de l’individu dans le collimateur: soit la manière forte, comme on le voit dans cet extrait de film, soit, dans le cas d’un individu dans mon genre, doué d’une intelligence à peu près normale, un avertissement indirect que j’avais commencé à dépasser les limites de la bienséance généralement admise. J’en prenais acte, et je n’y revenais plus, en attendant la prochaine. Il y avait aussi deux genres d’agents de la Stasi: les en gros sabots et les en escarpins. Les provocations montées par les gros sabots étaient naturellement évidentes: c’étaient pour ainsi dire des ballons d’essai. Plus subtiles étaient les provocations par les escarpins. Ils étaient dans l’ombre (voir "La vie des autres), et comme c’étaient généralement des gens d’une grande intelligence, c’était tout un art de déceler un piège éventuel. En fait, on jouait au chat et à la souris. Ce qui était regrettable, c’est qu’ils étaient mauvais joueurs et qu’ils tenaient absolument à jouer leur rôle: dans le cas par exemple d’un permis permanent de résident, on vous savoir par la bande, la veille de l’interrogatoire par la Stasi qui devra corroborer les renseignements que vous avez fourni sur votre demande, que le permis a été accordé. Mais cela n’empêchera pas la Stasi de vous cuisiner pendant 5 ou 6 heures d’affilée, surtout sur les trous dans votre CV.
en fait je ne sais pas s’il fallait être super intelligent pour agir de cette façon
mais c 'était plus « la compartimentation de la vie »
du fait des céllules communistes qui imposaient à ta vie de tous les jours , que tout soit en vitrine
même les choses les plus intime
en fait des Talibans san voile
ce qui n’empêchait pas les injustices ou le favoritismes
bien au contraire
mon point de vue bien sur