…du nouveau jeune chancelier pour lequel il ne semble pas nourrir une profonde estime.
Robert Menasse ,n’est pas le premier venu. Il a obtenu l’an dernier le prix de la littérature allemande. Son livre le plus célèbre :« die Hauptstadt ».
Et , tout comme ses concitoyens Thomas Bernhard et Elfriede Jelinek , il n’est pas tendre pour son pays.
J’ai retrouvé une interview qu’il avait accordé , il y a un an , après l’élection du jeune Kurz au titre de chancelier au journal italien « la Reppublica ». Pas tendre pour le jeune homme qu’il traite de « marionette de Strache ».
Il y a moins longtemps :« Kurz est un zombie de l’ancien temps »
Pour ceux qui souhaiteraient connaitre Menasse un peu mieux: