[i] ZZZ… Alors que 19 % des Français dormiraient au boulot, et que les bienfaits sur la productivité sont avérés, la sieste reste clandestine.
C’est un phénomène connu des salariés comme des patrons. Un appel irrésistible qui les envahit chaque jour, sitôt la dernière bouchée de leur déjeuner avalée : les yeux qui se ferment, le cervelet qui ralentit, le sentiment d’être aussi mou qu’un flan… Des symptômes plus connus sous le nom d’«appel de la sieste». Ni une maladie vénérienne, ni un phénomène marginal, la sieste demeure pourtant une pratique dissimulée, alors que selon un récent sondage de l’Institut national du sommeil et de la MGEN, 19% des Français somnolent sur leur lieu de travail. Alors pour siester peinard, chacun y va de sa petite astuce. Jean, 27 ans, cadre dans le bâtiment, se rend «dans le seul endroit où on ne peut pas le surprendre : les toilettes». Devenus un sas de décompression, les waters sont un refuge «chaque fois que la nécessité se fait sentir». Une habitude que certains ont érigée en manifeste sur les réseaux sociaux, comme le groupe «Je fais semblant d’avoir un besoin, en fait je vais juste roupiller».[/i]
liberation.fr/vous/010123363 … osser-plus
Comme j’ai déja eu l’occasion de le souligner dans un autre post, chez moi ce n’est pas mon chat qui ronfle mais moi.
Ma philosophie serait plutôt : ronfler plus pour bosser moins.
Je voudrais savoir si la pratique de la sieste est autorisée en allemagne (et pas uniquement dans les chiottes).