Bon , ne ne suis pas vraiment cinéphile , encore moins intéressé par l’énorme machinerie des festivals
J’ai toutefois trouvé l’article du Figaro intéressant , ainsi que la bande-annonce.
Article dithyrambique du Monde sur ce film allemand en compétition à Cannes :
lemonde.fr/festival-de-canne … 66360.html
[Edit Modo : parfois les modérateurs ont la même idée… / fusion des sujets existants]
Hum, hum, on dit du bien d’un film d’un cinéaste allemand, de surcroît une jeune femme frôlant la quarantaine!!! loin des films à grand budget hollywoodien. Un film allemand qui se passe en Allemagne sans acteurs phare internationaux , qui ne parle ni de l’époque nazi ni de la RDA!!! Pour moi cela sonne comme un film à voir d’urgence
Séance photo , aujourd’hui , à Cannes.
Elle a l’air de se faire royalement chi… , Maren Ade ( c’est la dame aux cheveux courts , corsage blanc et pantalon bordeaux.) . Ca me la rend d’autant plus sympathique !
Allez, fuck off, fuck off !
Non, ça c’est son actrice, Maren Ade est à sa droite
J’ai laissé tourner Youtube. Et en plus maintenant les cinéastes, doivent assurer eux-mêmes les services de traduction lorsqu’ils parlent à des journalistes connationaux dans leur propre langue!!! Belle performance sur le coup!!! Et son accent allemand bien reconnaissable es tout à fait charmant.
Exact ! Merci de m’avoir corrigé , Sonka .
« Toni Erdmann » : un moment cannois « innouï » - YouTube « Toni Erdmann » : un moment cannois « innouï »
Des témoignages enthousiastes.
Film phare (actuel) du nouveau cinéma allemand, il semble se tailler une belle aprt de succès dans l’hexagone…
Ravie de te revoir Pat Mulhouse
et merci pour le conseil au sujet de ce film !
German Films Aktuelle Meldungen aktuellemeldungen@german-films.de
le film représentera l’Allemagne, rubrique « oscar 2016 du film non anglophone »…
Film phare (actuel) du nouveau cinéma allemand, il semble se tailler une belle aprt de succès dans l’hexagone…
Après avoir dévalisé quelques librairies, le plaisir de partager quelques photos de vacances avec vous tous, amis aoxiens, encore un moyen de prolonger son séjour en Allemagne même de retour en France : aller au cinoche voir un bon film.
Merci du tuyau Pat
Un film délirant, plein de tendresse, oui oui mais avec des échanges de paroles parfois grinçants.
Une Nacktparty improvisée à cause d’une robe trop serrée et de chaussures à talons trop hauts, les deux que l’ on a du mal à mettre et ensuite à enlever, alors on enlève tout et on surprend jusqu’à se laisser surprendre soi-même par un énorme Yéti.
L’action commence en Allemagne, se passe principalement en Roumanie pour finir en Allemagne.
A une soirée branchée roumaine on reçoit la carte de l’ambassadeur de Bulgarie et un jour on frappe à sa porte. Son épouse est là et une fête, une vraie fête de famille se déroule, le père et la fille entre, la fille est mal à l’aise. Et le père voudrait retenir l’attention de sa fille qui voudrait partir alors il se met au piano et l’entraîne à chanter une chanson de Witney Houston. Elle cède et massacre la chanson au fur et à mesure qu’elle laisse parler ses sentiments . Colère, tristesse, émotion, on ne sait plus trop …
Bref ce film est un jeu de cache entre un père et une fille, du genre « Je ne ne sais plus comment te dire que je t’aime profondément ».
Oh que oui j’ai adoré ce film, pour ceux qui ont vu Boy cela va bien plus loin dans le délire tout en étant plus léger, plus européen.
Boys c’est voir Berlin à la New-yorkaise ici c’est du film avec pour cadre la Roumanie qui parle l’anglais du commerce international et de la restructuration avec des personnages bien Allemands, la coincée et le délirant.
C’est la fille qui est une bosseuse froide. Impitoyable en affaire, à l’anglais américain impeccable. Pour décompresser elle suit des séances de massage, encourage son copain à pratiquer l’onanisme sous ses yeux et sniffe de la coke de temps en temps. Le père, un prof de musique,il vient de perdre son vieux compagnon, un chien et décide de prendre des congés pour aller voire sa fille à l’improviste . Un homme un peu loufoque qui reçoit son facteur en lui parlant de colis piégé, met des fausses dents, une perruque, s’invente des personnages juste pour être présent dans la vie de sa fille et entraine les autres dans sa fantaisie .
Pour tous ceux qui décideront d’aller voir ce film et on marre de cette actualité plus que morose, c’est un moment de petits bonheurs garanti. Et j’en ai déjà trop dit, même si je n’ai décrit que quelques unes des scènes sans forcément en respecter l’ordre
Bon, il était dans l’avion et je me suis dit que c’était l’occasion de voir ce film dont je n’entendais que du bien.
Je suis désolée Valdok pour ce qui va suivre, mais je dois libérer ma frustration.
Comment vous dire…?
C’est la première fois de ma vie que j’étais fâchée contre un film. Fâchée contre moi même d’avoir perdu mon temps pour ça.
Je dois être bizarre, ne pas avoir de coeur mais j’ai trouvé tous les personnages, y compris le papa, antipathiques: lui ne trouve rien de mieux que de mettre sa fille dans des situations gênantes pour attirer son attention (merci Papa de me ridiculiser devant mes employeurs), et elle inspire autant de sympathie et de compassion qu’un gant de toilette. Même les scènes censées montrer de la tendresse ne m’ont absolument pas touchées, car elles étaient noyées dans un scénario tellement absurde qu’il en devient irritant (mention à la Nacktparty qui était… inutile, juste inutile. Et tellement pas drôle).
Et n’oublions pas les scènes de sexe totalement inutiles dont la seule utilité est de donner du piquant à un film à l’électro-encéphalogramme plat comme une planche à pain. Et voir un mec se masturber quand tu regardes un film dans l’avion, eh bien c’est GENANT
Pourtant l’idée de départ était séduisante: comment un père de famille vieillissant, dont sa fille se perd à corps et âme dans son travail qui ne lui plait pourtant pas vraiment, veut se rapprocher d’elle, la sentant malheureuse malgré son succès. Un sujet délicat qui pourrait toucher un bon nombre d’entre nous. D’ailleurs, l’approche critique du milieu montré comme machiste est pertinente et violente (Ines n’est absolument pas prise au sérieux par cet homme d’affaire qui ne lui pose qu’une seule question: où peut-on faire du shopping à Bucharest…) mais c’est honnêtement la seule chose qui m’ait plue.
Le reste est noyé dans un rythme extrêmement lent, deux heures quarante pour finalement pas grand chose, et très, très peu de sentiments malgré un sujet aussi touchant que l’amour d’un père. C’est une grande prouesse de faire de cela, un film froid, sans saveur et sans réel message.
Quel dommage, vraiment. Quel dommage.
Dresden, avec le recul je pense que je modérerai mon enthousiasme envers ce film
Je suis d’accord avec toi, le rythme du film était trop lent et quand tu dis
Elle inspire autant de sympathie et de compassion qu’un gant de toilette
, ton expression me fais rire, et je ne peux que t’approuver.
C’était à l’époque où j’avais tendance à m’enthousiasmer dès qu’un des rares films allemands ayant un succès international parlait d’autre chose que du nazisme ou de l’ Allemagne de l’est…
Vivant une partie de l’année en Allemagne, maintenant, le cinéma allemand n’a plus cet effet « capital sympathie assurée pour moi. » Dommage que tu n’aies pas été voir « la Valse dans les allées », j’aurais volontiers lu aussi ton commentaire.
C’était à l’époque où j’avais tendance à m’enthousiasmer dès qu’un des rares films allemands ayant un succès international parlait d’autre chose que du nazisme ou de l’ Allemagne de l’est…
Vivant une partie de l’année en Allemagne, maintenant, le cinéma allemand n’a plus cet effet « capital sympathie assurée pour moi. » Dommage que tu n’aies pas été voir « la Valse dans les allées », j’aurais volontiers lu aussi ton commentaire.
J’étais pareil avant, puis cinq ans en Allemagne et le constat d’un cinéma assez pauvre dans son ensemble a fait son reste… toute ma sympathie et profonde affection pour ce pays n’arrive pas à m’enlever de la tête que les bons films y sont très rares.
Je n’ai pas vu ce film, pas entendu parler car je suis désormais très loin de ma deuxième patrie, mais si je le vois, j’en parlerai dans le fil!
Le pire, c’est qu’il y a de bons films allemands mais pourquoi est-ce ce film en particulier qui a hérité d’une telle vague d’éloges, das bleibt mir ein Rätsel…