Déjà, je ne comprends pas pourquoi une telle manifestation n’a pas été d’emblée interdite 
Une grave erreur!!!
Je pense que le terme d’Europe de l’Est a été maladroitement choisi par ce journaliste, mais qu’il veut dire que des participants venant des pays de langues slaves donc l’Europe centrale et de l’est… Je réagis principalement concernant la Pologne.
Comment peut-on célébrer l’anniversaire d’hitler quand on est Slave déja et d’extrême droite nationaliste??? Il faudrait leur expliquer que pour hitler les Slaves était une sous-race condamnée à disparaître, et que les Polonais, haïs entre tous , de toute façon devaient servir d’esclaves aux Allemands…
Le nationalisme haineux c’est déjà répugnant, alors ce degré d’imbécilité, c’est effarant… Le gouvernement polonais, pour rester logique à lui-même (sa loi sur les "camps de concentration polonais ") devrait déclarer punissable tout admirateur d’Hitler, rien que par les faits historiques. Aimer hitler c’est détester la Pologne, c’est indéniable.
Bizarre qu’il y ait en Europe centrale, des admirateurs d’Hitler, l’extrême droite populiste c’est déjà effroyable et c’est triste de voir à tel point les gens sont ignorants du passé de leur propre pays sous l’occupation nazie.
Lengyel, magyar két jó barát, együtt harcol, s issza borát… 
de.wikipedia.org/wiki/Pole,_Ung … %BCderlein
N’oublions pas que pour la Pologne, le 11 novembre 1918 n’est pas le jour où la guerre s’arrête et l’Etat polonais ressuscite, mais le début des hostilités contre ses voisins, en se servant largement aux frais de l’Union soviétique, de la Lituanie et dans une moindre mesure de la Tchécoslovaquie, merci Munich. Le 1er septembre 1939 sera par conséquent une remise à l’heure des pendules de Versailles et de St-Germain.
Quant aux Hongrois, il s’emploient naturellement à réviser Trianon, et ça donne ça, après rétablissement d’une frontière commune magyaro-polonaise après la reconquête de la Ruthénie subcarpatique au détriment de la Tchécoslovaquie :
youtube.com/watch?v=4adPBEohy10
(on remarquera au passage la gare typiquement autrichienne de Beskid, Galicie, sur la ligne transcarpatique, 1:51’)
Sebastian Krummbiegel ( die Prinzen ) , toujours engagé politiquement contre toute forme de fachisme- était sur place pour un concert.
Ce qu’il dit de la situation et des responsabilités politiques locales :
