Un maire vert pour Stuttgart

Une défaite de plus pour la CDU ; les électeurs ont élu Fritz Kuhn (Vert) à la tête de la mairie de Stuttgart.Avec 52, 9 % des voix, il obtient donc la majorité absolue.
Rappelons que BaWü a, est dirigé par Winfried Kretschmann, ministre-président vert, lui aussi.
Un vieux bastion conservateur qui commence à s’effriter ???
Source :
http://www.badische-zeitung.de/fritz-kuhn-gewinnt-die-ob-wahl-in-stuttgart-sekt-bei-den-gruenen

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L’affaire Stuttgart 21 n’y est sans doute pas étrangère ?

Oups, je n’avais pas vu ton sujet, michelmau !

Pas question, en effet, pour le nouveau bourgmestre vert de Stuttgart, de faire payer la municipalité pour des erreurs dans la planification du projet.
Kuhn n’exclut d’ailleurs pas la possibilité d’un nouveau referendum.
Source:

Pour Stuttgart 21, le projet est accepté en soi, c’est le fimamcement qui fait débat maintenant. En fait, la CDU et la DB ont sousestimé les coûts pour faire passer lemprojet et mettre toutle monde devant le fait accompli le temps venu. Les élections ont tout changé.
Pour l’instant, c’est une partie de pocket menteur… mais les chiffres du financement éclateront à la tête des politiques un jour ou l’autre, donc les verts ne veulent pas se créer une casserole et font montrer la pression pour que la responsabilité de la manipulation quasi-frauduleuse du vrai-faux budget éclate dans le camps dela CDU/SPD, promoteurs du projet. Les calculs ont dû être vérifiés à cause ou grace à la médiation publique. Cela a mis la CDU et la DB à nu.
Les Verts capitalisent maintenant politiquement sur cette erreur, ils ont bien raison.Le cas extrème, ce serait le refus de tout paiment du Land, arrêt des travaux et retour de la contestation. C’est une manière de forcer un referendum à la question plus claire, voire carrément faire du chantage aux impôts : « Acceptez-vous un impôt pour la gare dans tout le Land ou non », et le non à ce financement collectif serait la,fin du projet et la possibiloté de tout annuler devant les tribunaux. Je délire un peu, mais c’est le rêve des opposants au projet qui ont mis les Verts au pouvoir. On berra si c’est trop rêveur…

L’article de la « Gazette de Berlin »