« Nous, rédacteurs en chef des journaux du groupe DuMont-Schauberg, approuvons la décision du Conseil de surveillance et demandons à Konstantin Neven DuMont de se démettre de ses fonctions ou de se mettre en congé. Jusqu’à présent, par respect pour sa personne et par loyauté envers l’entreprise et ses actionnaires, nous nous étions abstenus de prendre position publiquement. Mais, pour nous, la loyauté doit être un engagement réciproque. (…) Une des règles les plus évidentes à suivre est de ne pas fournir à la concurrence les moyens de se faire battre, et de gérer les affaires personnelles en interne et de façon confidentielle. »
Tout va de mal en pis pour M. Neven DuMont, 41 ans. Récemment encore, il passait pour l’héritier naturel du groupe de médias dirigé par son père Alfred, 83 ans. En l’espace de six semaines, il a réussi à liguer tout le monde contre lui. Ce 1er décembre, ce sont les rédacteurs en chef des journaux du groupe (Frankfurter Rundschau, Berliner Zeitung, Express, Mitteldeutsche Zeitung, Kölner Stadtanzeiger, Homburger Morgenpost) qui lui portent le coup de grâce : dans une tribune commune publiée par tous les quotidiens, ils appellent à leur tour à son départ.
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jean luc 
En France c´est plutot le contraire, vraiment les allemands sont différents