Une petite histoire de Noël

Aujourd’hui, je raconte une petite histoire de Noël à vous!
Elle était écrite par l’auteur autrichien Karl Heinrich Waggerl qui a vécu entre 1897 et 1973:

"Dans cette nuit, quand la belle étoile apparaissait au ciel pour les bergers, ils partaient vite sur le chemin que l’ange leur avait montré. Il y avait aussi un garçon, qui était si petit et si pauvre, que les autres bergers ne voulaient pas l’emmener à l’étable à Bethlehem, car il ne possédait rien qu’il pouvait donner à l’enfant de Dieu.

Mais le bonhomme ne voulait pas laisser admettre ces objections. Un peu plus tard, il partait secrètement sur le long chemin et arrivait corrèctement à Bethlehem. À ce temps, tous les autres bergers avaient déjà retourné et toutes les créatures dans l’étable dormaient. Le Saint Josèphe dormait, la Sainte Marie dormait aussi, tous les anges sous le toit de l’étable dormaient, le boeuf et l’âne dormaient aussi. Seulement le petit Jésus ne dormait pas encore. Il se couchait très tranquille dans sa crèche, peut-être un peu triste à cause de son délaissement, mais sans cris et sans gigotement, car il était un petit enfant très sage!

Maintenant, le petit Jésus regardait le garçon, qui restait avant sa crèche et n’avait rien dans ses mains, pas de fromage, pas de laine, rien! Et le bonhomme regardait le saint enfant comme il devait se coucher dans sa crèche et n’avait rien contre son ennui, pas de clochette, pas de pelote de laine, rien!

Le garçon faisait pitié au petit enfant du ciel. Il prenait le poing miniscule du bébé dans sa main, tordait son pouce et le mettait dans la bouche d’enfant.

Maintenant, le petit Jésus n’avait plus besoin d’être triste, car le petit et pauvre bonhomme lui avait donné le meilleur délicieux qu’on peut donner à un bébé: son propre pouce!"

(Traduction libre par Grand-Père)

Joyeux Noël encore à vous !

Grand-Père

:laughing: elle est toute mignonne ton histoire grand-père !!! :smiley:

(nb : on ne dit pas « LE saint Joseph, ou LA sainte Marie », on dit « Marie » « Joseph », ou « Sainte Marie » « Saint Joseph »… :wink: )

Aujourd’hui, je vous raconte une autre petite histoire de Noël de Karl Heinrich Waggerl:

Josèphe et Marie de Nazareth étaient encore en route vers le village Bethlehem où ils devaient annoncer leur origine de la famille de Roi David. À ce temps, l’archange Gabriël venait secrètement du ciel pour vérifier que tout allait bien: Il était difficile même pour un archange de comprendre pourquoi le petit Jésus devait venir au monde justement dans une étable misérable et pourquoi il était nécessaire que son berceau devait être seulement une crèche.

Mais l’archange Gabriël voulait du moins encore ordonner les vents qu’ils ne soufflaient pas trop brutalement par les fissures de murs de l’étable, et les nuages au ciel ne devaient pas se confondre en apitoiements et recouvrir l’enfant avec leurs larmes. Quant à la lumière dans la lanterne, il était nécessaire de lui recommander d’éclairer seulement modèstement, mais ne d’éblouir et de briller pas comme l’étoile de Noël.

L’archange chassait aussi tous les petits animaux de l’étable, les fourmis, les aragnées et les souris. On ne pouvait pas s’imaginer ce qu’il pouvait se passer, si Marie peut-être était horrifiée par une petite souris dans l’étable! L’âne et le boeuf seulement pouvaient rester dans l’étable. Il était nécessaire de garder l’âne dans l’étable, car on aurait besoin de lui un peu plus tard pour la fuite vers l’Égypte. Le boeuf restait dans l’étable, car il était très grand et si paresseux que tous les anges du ciel ne pouvaient pas bouger le boeuf dans l’étable.

Tout à la fin, l’archange Gabriël distribuait une bande de petits anges dans l’étable sous le toit, ils étaient ceux qui consistent seulement d’une tête avec des ailes. Ils devaient s’asseoir tout tranquillement, faire attention et tout de suite annoncer, quand quelque chose mauvais menaçait à l’enfant. L’archange Gabriël se retournait et regardait dans l’étable, puis il s’envolait vers le ciel.

Malheureusement, il n’avait pas trouvé une petite puce qui s’assoyait au sol de la crèche dans la palle et dormait. Après la naissance, quand le petit enfant se couchait sur la palle dans la crèche, les petits anges sous le toit étaient très ravis. Ils volaient autour de la crèche comme des pigeons. Quelques éventaient des odeurs de baume vers l’enfant, autres tiraient la palle pour empêcher qu’un petit brin de palle pouvait presser ou pincer l’enfant.

À cause de ce froissement, la puce réveillait dans la palle. Elle avait grande peur, car elle craignait que quelqu’un voulait l’attraper comme d’habitude. Elle se déplaçait dans la crèche et enfin, elle se cachait dans le conduit auditif de l’enfant du Dieu.

« Excuse-moi! » chuchotait la puce, « malheureusement, je ne peux pas faire autrement. Ils me tueront, quand ils réussiront de me choper. Je disparaîtrai tout de suite, mais il me faut chercher les possibilités! »

Elle se voyait autour et faisait un plan. « Écoute! » disait-elle, « quand je me fatigue, et si tu te tiens tranquille, je peux sauter et peut-être arriver la cavitie du Josèphe! Et puis, je peux prendre la distance vers le châssis de fenêtre ou la porte … »

« Saute, s’il te plaît! » disait l’enfant inaudiblement pour les autres dans l’étable, « je me tiens tranquille! » Maintenant, la puce sautait. Mais, elle ne pouvait pas éviter de chatouiller un peu l’enfant dans son conduit auditif, quand elle se mettait en position pour sauter. À ce moment, Marie réveillait son époux. « Regarde! Il sourit déjà! » disait Marie en bonheur!

Traduction libre par Grand-Père

J’espère que vous aimez bien l’histoire de Karl Heinrich Waggerl!

Grand-Père

Oui, elles sont vraiment très mignonnes et insolites ces histoires ! :smiley: