C’est en lisant un article de la Deutsche Welle sur Simon Gronowski qui , pendant le confinement , joue du jazz pour ses voisins que j’ai découvert ce monsieur.
Intéressant cet article d’autant plus que je participe à un séminaire sur la toute après guerre en Europe orientale (Allemagne y compris!!!). Une réflexion de cette sorte a d’ailleurs commencée à être généralement avancée depuis plus d’une quarantaine d’années à présent qu’il s’agisse de pur amitié ou de relations amoureuses,
Je me souviens avoir lu un roman sur l’histoire d’une jeune fille juive française tombée amoureuse d’un jeune homme allemand dans les années soixantes, et j’avais lu ce roman quand j’avais 16 ou 17 ans (il y a donc environ quarante ans !!!)
Pourquoi des personnes que tout pourrait opposer sont capables de construire une amitié salvatrice pour eux deux ou de s’aimer , certes sans oublier le tragique passé qu’ont vécu leurs parents ou leurs grand-parents alors que d’autres n’ayant pas vécu cette souffrance nourrisse une haine sempiternelle envers même les enfants des petits enfants d’un peuple de jadis bourreaux.