Le très décrié patron de presse australien, qui possède entre autres le Wall Street Journal, le New York Post, l’Australian, le Times britannique ou le Sun, envisage de faire payer la consultation en ligne «dans les douze prochains mois», en démarrant par les titres les moins fragilisés. «Nous sommes au coeur d’un débat décisif sur la valeur des contenus et il est devenu évident que, pour de nombreux journaux, le modèle actuel ne fonctionne pas», argumente Rupert Murdoch, âgé de 78 ans.
Le Wall Street Journal est déjà payant sur le Web mais il est probable que la décision du magnat australien de contrecarrer ce que font les autres et d’élargir cette pratique sera observée de très près par tous les patrons de presse tant aux Etats-Unis qu’en Europe.
trends.rnews.be/fr/economie/actu … 278354.htm
Et si ça arrive, comment je vais faire pour vous donner des infos sur l´Allemagne, car il est évident que si ça devient payant, je ne pourrais plus continuer , car trop chére .Il en est de même pour d´autres sites comme YouTube.
jean luc