Waldorfschule

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Un petit sujet qui me tient à coeur, car j’ai découvert l’existence de cette école lors de mes derniers en Allemagne, et elle m’a personnellement beaucoup plu. On me l’avait cependant présenté avec un côté plus « écolo », à savoir l’osmose et l’harmonie de l’individu avec la nature et son environnement en évitant toute « pollution » comme la télévision à la maison. Les enfants apprennent à connaître et reconnaître une plante, son entretien, ses vertues, etc. L’inscription dans cette école implique également les parents qui doivent suivre des consignes assez strictes, et l’enfant est vraiment livré à lui-même.

Tout d’abord, que pensez-vous de ce genre d’enseignement ?

Aussi, cela m’amène à un point qui m’a complètement choqué, qui est le culte de « l’enfant roi » en Allemagne, du moins dans le Baden-Württemberg, à savoir l’enfant a droit de faire ce qu’il veut sans l’implication et/ou l’intervention des parents. Il se développe et apprend à connaître certains dangers tout seul. Par ex, on va attendre qu’il se brule pour lui apprendre qu’il faut pas jouer avec le feu. Concrètement, on ne comprenait pas pourquoi avec des amis, que des enfants de 9-10 ans puissent jouer avec un vrai feu (genre feu de camp hein, pas un briquet) sans aucune surveillance dans un Kindergarten. Un maman belge m’en a également raconté des vertes et pas mures, et elle s’est très souvent fait critiqué d’être trop stricte avec ses propres enfants. Le meilleur était encore quand un drole avait poussé un de ces enfants d’en haut d’un tobogan et que la maman d’à côté était en train d’applaudir son gamin qui était tout fier.

Je crois que ce concept a également été « exporté » à l’étranger. A la base, le concept est très bon, mais c’est son application qui est délicate. A Trier nous avons une Waldorfschule, mais le problème c’est que si un enfant a du mal à suivre et doit retourner dans le système scolaire « normal », ça pose d’énormes difficultés car pas de reconnaissance automatique du niveau dans les matières vu que les matières ne sont pas les mêmes, etc. On a vu le cas dans la classe de ma fille, quand elle était en 10. Klasse (équivalent de la 3ème du collège en France) : une fille venait de la Waldorfschule et elle a eu beaucoup de mal à se réadapter au système scolaire « normal ». Finalement elle a du quitter le Gymnasium pour aller dans une Realschule. Bien sûr les exemples inverses existent probablement aussi. Du moins je l’espère. Mais il y a tellement de différences entre les Waldorfschulen et les autres écoles que la comparaison est quasi impossible. Par contre, c’est connu qu’en général les enfants qui passent par une Waldorfschule développent des facultés cognitives assez fabuleuses.

Pour ce qui est de l’exemple du feu, je sais pas si j’en aurai le courage, mais je crois que c’est quelque chose que j’aimerais bien faire. Je trouve qu’on donne trop d’interdits aux enfants et j’ai remarqué personnellement, quand ça c’est produit par hasard, que les enfants retiennent bien mieux la leçon quand ils sont tombés tous seuls par exemple que lorsque tu leur as dit 100 fois « ne te balance pas sur ta chaise ! ». Après, de là à risquer que ton gamin se brûle au 3 degré juste pour ça, ça vaut peut-être pas la peine. Mais je sais qu’avec mes neveux et nièces, ce que je fais par exemple pour la plaque de gaz, c’est que je leur dit : « c’est chaud », mais sachant bien que ça ne leur fait pas grand chose, je leur dit « regarde, approche ta main un peu… tu vois, c’est très chaud. Si tu touches plus, ça va te faire très mal, on sera obligés de t’emmener à l’hopital ». J’essaie une approche intermédiaire, quoi. Je pense que vous serez tous d’accord pour dire que pour nous, les adultes, on tire mieux les leçons de ce qu’on a vécu personnellement que de ce qu’on a vu autour de soi ou pas vu du tout. Ben les enfants, c’est pareil. Y’a un âge (je dirais jusqu’à 3 ans environ) où c’est difficile de leur expliquer certaines choses, je pense qu’il n’ont pas encore la capacité à faire une suite de raisonnement logique (à 2 ans, lui dire « tu vas aller à l’hopital », il ne sait pas ce que c’est, mais à 4 ans, oui). Donc, les tout tout petits, il faut les protéger. Mais à partir d’un certain âge, il faut leur expliquer et les laisser faire eux-mêmes. Sans quoi non seulement c’est pas efficace, mais en plus on passe son temps à gueuler (= toute la famille stressée, parents et enfants).

Franchement, je pense que tes gamins de 10 ans, ils ont bien l’âge de faire un feu. Sans doute pas sans aucune surveillance, mais une surveillance lointaine. Juste au cas où. :wink:

Sonka, pour quelqu’un qui n’a pas encore d’enfants, c’est pas mal du tout dis donc ! :top:

Mais ce qu’a dit Sonka n’a pas de rapport avec l’« enfant-roi »? Si?
Si les parents laissent un peu de liberté aux enfants dans le but de leur apprendre quelque chose, OK ; ce que je ne supporte pas, ce sont les parents qui n’éduquent pas du tout leurs enfants, les regardent ébahis faire des conneries, rient à tout ce que font leurs chères têtes blondes… exaspérant!
« Regarde, il a renversé son yahourt par terre, il est trop mignon, regarde comme il rit, hahaha, et maintenant il en met sur la tête de son petit frère, hihihi, ils sont choux » Arghhh. En général, je fuis en entendant ça.
Il y a aussi les petits mal-élevés que les parents ne reprennent pas: au secours!
Une fois, une mère, amie de mes parents, m’a crié dessus car j’avais dit à son insupportable fils au restaurant « tu ne peux pas te tenir tranquille et arrêtez de te lever sans cesse et d’ennuyer les autres personnes ». Elle m’a dit: « mais allons, c’est un enfant… » :imp:
Des claques se perdent parfois, et pas que pour les enfants…

:unamused:

Yseult :laughing: MDR

Je comprend ce que veut dire Sonka : il est vrai qu’en Allemagne la plupart des parents n’éduquent pas très sévèrement leurs enfants mais au contraire les laissent plutôt faire (presque) tout ce qu’ils veulent. C’est pour ça qu’on parle de concept « d’enfant-roi ».

En tout cas, j’adore vous lire ! quand vous parlez de gamins. :smiley: C’est pas une remarque cynique de ma part. C’est plutôt rigolo. :smiley:

Non, non, je ne cautionne pas l’enfant roi ! Je suis pas pour du tout.

Mais je reprenais l’exemple du feu. Parce que je me rends compte que la méthode brutale, sur les gamins, du genre « noooooon ! touche pas !!! touche pas je te dis !!! », ça marche pas des masses et des fois, on obitnet exactement l’effet contraire.
Pour ce qui est de l’obéissance, j’ai une nièce qui est particulièrement difficile, et ce que je remarque, c’est que plus ses parents lui disent « noooon ! » « fais pas ça » « parce que c’est comme ça » (son père est du genre un peu stressé :wink: ), plus ça se passe mal avec elle et plus elle est intenable. Du coup, elle paraît mal élevée alors qu’au contraire, ses parents sont toujours sur son dos. Mais c’est pas forcément la quantité qui prime, plutôt la qualité.

Ahlalala, ça ne doit pas être évident d’élever des enfants…

Il y a des méthodes qui doivent plus ou moins bien marcher en fonction du caractère de l’enfant, le tout est de trouver la bonne (pas facile, pas facile)!

@ Gaston (oui je sais, t’a changé de pseudo mais tant pis :wink: : Qu’en est-il pour ta fille si ce n’est pas trop indiscret ? Comment s’est passé son éducation ? Y-a-t il eu des chocs culturels ?

Je ne sais pas si les réserves d’espace disque sur le serveur du forum suffiront ! :laughing: :laughing: Je ne sais pas si tu te rends compte vu l’âge qu’elle a, tout ce que je pourrai raconter sur son éducation…

En plus, je ne l’ai pas éduqué tout seul. Sa maman a joué un grand rôle aussi. Et mon épouse actuelle un peu aussi (même si ma fille ne se laisse pas dire grand chose de mon épouse, vu qu’elle n’est pas sa maman).

Et puis, comme disait André Maurois je crois, « l’éducation des parents n’est qu’un aspect de l’éducation des enfants, les enfants recevant 3 types d’éducations, celle de leurs parents, celle de leurs professeurs et celle du monde, la dernière venant contredire les deux premières. »

Oui bien sûr. Quand elle était petite je voyagais encore beaucoup pour des raisons professionelles (j’effectuais des missions à l’étranger). Donc nous déménagions souvent, et à chaque fois elle devait se refaire un cercle d’amis. Sans parler des difficultés qu’il y a pour une petite fille de se retrouver dans des pays dont elle ne connaissait pas la langue… Donc ça ne s’est pas toujours bien passé.

Sa mère (ma 1ère épouse) est d’origine marocaine, et ma fille a hérité beaucoup de traits de caractère de sa mère. (D’ailleurs à l’époque la nationalité de ma première épouse nous a posé des difficultés avec l’administration américaine qui s’occupe des dossiers des expats. Enfin bref.) Donc ma fille, qui a un caractère très fort, a parfois eu du mal à s’adapter aux usages locaux des pays où nous déménagions. Elle a aussi souffert de propos racistes très jeune, en raison de la couleur « café au lait » de sa peau, alors que c’est une jolie jeune fille (les filles sont parfois très cruelles entre elles). Je crois que le fait qu’elle n’ait pas gardé beaucoup d’amis des endroits où nous avons habité, et qu’elle n’a donc pas un cercle d’amis très ancien comme ses copains et copines, est quelque chose de très dur pour elle. Elle en parle de temps en temps. Je sais que je n’ai pas de soucis à me faire parce qu’elle a une nature très enthousiaste (elle a un caractère de meneuse), et elle se fait toujours plein de copains et de copines. Mais je sais aussi qu’elle aurait aimé avoir des vieux amis/amies d’enfance, comme ses copains et copines. Et de savoir que c’est un peu de ma faute, m’attriste. Mais bon, dans l’ensemble je crois qu’elle n’a pas eu trop de « chocs culturels » dans les pays où nous avons habité. Elle s’est adapté assez vite. Du moins c’est ce que j’ai vu, mais de là à savoir ce qu’elle ressentait, c’est autre chose…

Et puis je n’ai pas toujours été un père très présent à cette époque. J’étais jeune et complètement obsédé par ma carrière professionnelle. Comme je ne me débrouillais pas trop mal, mon employeur m’envoyais sur des missions de plus en plus complexes, en me donnant de plus en plus de responsabilités. A 30 ans je supervisais 200 employés… Pour moi, à l’époque, la seule chose qui comptait c’était gagner beaucoup d’argent (j’étais heureux de voir mon salaire doubler tous les 2 ou 3 ans), de voyager et de gravir les échelons de la hiérarchie. Je me voyais déjà Managing Director (directeur général) à 35 ans.

Pendant toutes ces années, je n’ai pas été très présent pour elle, et en y repensant cela m’attriste beaucoup. Je le regrette profondément, et elle le sait. Mais on ne revient plus en arrière, malheureusement.

A 33 ans, après avoir changé les employeurs comme on change de chemise (avec bien sûr encore plus d’avantages, de plus belles voitures de fonction, de plus gros salaires et bonus, etc), je me suis retrouvé face à une situation à laquelle je ne m’attendais pas (je pensais, naivement, que ça ne m’arriverai jamais) : sur un très gros contrat, j’ai fait une bourde lors d’une négociation avec le Comité de Direction de l’entreprise pour qui nous travaillions, et les conséquences ont été catastrophiques : nous avons perdu le contrat et le client. Mon employeur a très mal réagi et m’a foutu à la porte.

Ce fut un choc pour moi. J’ai mis près d’un an pour m’en remettre. Durant l’année qui a suivi j’ai été incapable de recommencer à travailler. Cet épisode fut le détonateur d’une prise de conscience : tandis que je vivais dans ma bulle, j’avais oublié ceux que j’aime et qui m’ont toujours entouré : ma fille et mon épouse (qui m’a quitté peu de temps après - normal vu le connard que j’étais à l’époque). J’étais tellement concentré sur mon travail que ma vie familiale était passé au second plan. La vie de famille arrivait très loin derrière ma carrière. Je sortais le soir du bureau vers 22h ou 23h, et arrivé à la maison je continuais sur les dossiers que j’avais emporté. Quand j’avais fini, vers 1 ou 2h du matin, j’allais voir mon épouse, qui dormait déjà. Ma fille je ne la voyais que durant mes congés annuels. Durant des années j’ai complètement négligé tout ça. Lorsque je me suis retrouvé à la porte, j’ai cru perdre la tête. C’est facile à comprendre : quand on fait des semaines de 80 ou 90 heures de travail, week-end et soirs compris, et qu’on se retrouve sans activité, il y a de quoi devenir fou. Le seul petit point positif était que j’avais tellement d’argent de côté que je n’avais pas besoin de me faire de soucis pour nos finances, même sans travail. Mais à l’époque cela ne m’a même effleuré l’esprit. J’étais comme perdu. Comme un lion en cage. Comme quelqu’un d’hyperactif mais qui ne sait plus quoi faire. Au bout de 5 mois, j’ai finalement accepté de me faire aider par un professionnel (psy). Et je dois dire que là aussi, ce fut une expérience très enrichissante. Avant cela j’avais une piètre opinion des psy. Pour moi c’était tous des charlatans. Ce psy m’a beaucoup aidé à me retrouver, à retrouver d’autres centres d’intérêt, à prendre du recul, etc.

4 mois plus tard, lors de mon 34ème anniversaire j’ai fait une promesse à ma fille : de ne plus jamais recommencer et de lui promettre d’être là quand elle a besoin de moi.

Les années qui ont suivi ont été très différentes de mes premières années de travail. Je suis entré dans une banque, à un poste bien au-dessous de mes compétences et responsabilités, mais qui correspondait à mes nouvelles attentes et priorités : avoir plus de temps pour moi et pour ma famille. Cela s’est plutôt bien passé durant près de 5 ans. Un peu avant mes 40 ans, j’ai changé de travail (un copain m’a proposé de m’associer avec lui dans une affaire -rachat d’une petite société de services). Après un peu plus d’un an, j’ai retiré mes billes et j’ai changé de boulot. Et depuis cette année je travaille à mon compte (j’ai créé une petite entreprise qui emploi 6 salariés, 5 consultants et 1 comptable). Mais mon temps n’est plus réparti de la même façon qu’il y a 15 ou 20 ans : je prend mon temps et ne me fait plus un sang d’encre si les choses n’avancent pas aussi vite qu’elles le devraient. Et si ma fille a besoin que je sois là pour elle, je n’hésite plus à annuler un RDV professionnel. La priorité ce n’est plus mon travail, c’est ma famille. Elle passe avant tout le reste.

Je ne sais pas si j’ai bien répondu á ta question, car j’avoue qu’entre-temps, avec tous ces souvenirs qui reviennent, ça me remue l’estomac et j’ai la gorge serré d’émotions, et j’ai complètement perdu le fil. Excuses-moi Glouglou. Je vais boire quelque chose et revenir vérifier si j’ai pas répondu de travers à ta question.

Je ne sais pas si j’ai répondu de travers à ta question Glouglou car je t’avoue que je n’ai plus la tête à relire.

En tout cas, ça va bientôt faire 8 ans que j’ai complètement changé de style de vie et les rapports avec ma fille n’ont jamais été aussi bons. Surtout depuis que je travaille en partie depuis la maison et que je peux être présent dès qu’elle a besoin de moi. Même si la grande fille de 19 ans qu’elle est devenue est de plus en plus autonome. Elle vit sa petite vie de son côté, avec ses petits copains, ses sorties, etc. Mais je crois qu’elle se sent bien ici depuis que nous sommes revenus en Allemagne. La fait de « se poser » et de ne plus déménager tous les 6 mois ne m’a pas fait que du bien à moi, mais à elle aussi. Je le vois un peu dans ses rapports avec ses copains/copines. Et puis elle va bientôt démarrer sa Banklehre, et elle va commencer à gagner un peu d’argent. Je crois qu’elle est très impatiente de gagner son propre argent en apprenant un métier. J’espère que son choix de vie professionelle lui plaira. Sur ce, je vais aller manger et finir tranquillement la soirée. A bientôt.

Désolé si ma question t’a remué un peu l’estomac, elle ne devrait pas pourtant si tu te sens « bien » maintenant. Le regret, c’est pour le passé et le passé appartient au passé non ? Tu as justement réussi à changer ton train de vie pour une vie meilleure et plus équilibrée, ce que peu de gens auraient fait. Si tu as peur de l’opinion que ta fille a de toi, je pense qu’elle est très fière de t’avoir comme père et d’avoir fait ce pas, surtout parce qu’il a été pour elle.

Personnellement, je suis fier d’avoir un père comme le mien, même s’il n’a pas été un modèle … je n’ai pas réellement d’explications, car comme toi, il a toujours privilégié la vie professionnelle que familiale (mais encore maintenant). Jusqu’à l’age de 10 ans, mes parents étaient là pour moi les week-ends et lors de leurs congès. On faisait beaucoup d’activités ensemble, des sorties, etc, étant fils unique en plus, c’était appréciable … ils ont ensuite décidé de tout laisser tomber pour acheter une presse minable pour la remettre au meilleur de sa forme. Ils bossaient 80h/semaine en période estivale, ne s’accordaient que 3 semaines de vacances par an, ouvert 7j sur 7 également en hiver. Ce fut un choc pour moi, mais j’ai appris à me débrouiller seul, à être autonome et à me défendre tout seul. Le seul soutien que j’ai eu de lui était financier suite à mon bac pour continuer mes études loin de nid familial (qui n’est plus d’ailleurs). Malgré cela, je suis fier de lui, car je suis bien dans ma peau et j’ai tracé ma route sans lui. J’ai un grand cercle d’amis, je fais des choses que peu de gens feraient, je me sens épanoui. Le point négatif dans un certain sens, c’est justement de l’avoir tracé sans lui et sans ma mère, et ils n’ont jamais été pris en compte lors de mes décisions de partir faire un stage au Québec, de mon année d’étude en Allemagne ou de ma future aventure en Amérique du Sud. Concernant cette dernière, il commence à se rendre compte de certaines choses, qu’il ne me verra pas pendant 1 an et n’aura que très peu de nouvelles et cela lui fait peur. Cela m’a fait plaisir de l’apprendre, mais en restant poli, je m’en contre-fiche, car avec le parcours que j’ai tracé seul, c’est pas maintenant que je vais l’attendre, même si je sais qu’il est quand même là pour moi, car il a plus de temps désormais.

Je trouve ça assez émouvant, ton parcours, allemagnOsaure, et je comprends que ça ait pu te retourner d’y penser. Pour moi, c’est assez difficile de t’imaginer comme ça, tu as l’air tellement zen maintenant, tellement bon vivant, tellement papa cool (poule ?). En tout cas, c’est très courageux de nous l’avoir raconté. On te connaît un peu mieux comme ça.

Mais dites donc, si ça continue comme ça, va falloir qu’on renomme le sujet, non ? :wink: