Brûler, brûler en place publique! Qu’un sang impur abreuve nos pages roses!
Plus de métèques amenant avec eux des idées abstraites et confuses, rien que des plumes du terroir!
Rien que l’idée qu’on puisse être plus ou moins « marqué français » suffit à justifier ce smiley:
Tant que tu ne fais pas de sujet à la fac, tout va bien. Les profs de fac savent ce qu’ils font, qu’il le fasse bien ou mal d’ailleurs. Laisse-les faire.
un résumé HYPER COMPLET ???
ce qui sous-entend donc que tu n’as pas préparé ton oral, parce que tu n’as pas lu entièrement le livre …
avant de chercher un résumé, lis d’abord le livre… le résumé c’est toujours l’impression qu’a eu quelqu’un d’autre d’un livre, c’est jamais la tienne !!!
Quant à la discussion sur Kaminer, je ne me prononce pas, je ne connais pas…
Je résume:
A la question « lisez-vous en allemand ? », lafeeguimauve2 répond « non ».
J’ai feuilleté le livre « Russendisko », en plus d’avoir fait un extrait en cours le mois dernier, ça m’a eu l’air d’être pas long à lire et surtout vraiment sympa, donc s’il te reste encore deux semaines, c’est franchement faisable… Et ça serait dommage de passer à côté, le livre a l’air vraiment d’être bien, en plus d’être assez connu outre-Rhin!
Et le livre a été écrit en allemand, l’auteur vit a Berlin depuis des années, et en plus il parle beaucoup de la mentalité allemande, je ne vois pas du tout pourquoi on le cataloguerait pas « littérature allemande », là ça m’échappe totalement
oh mea maxima culpa !
en terminale, en littérature allemande on avait droit en boucle à Dürrenmatt, Brecht, Heine,Schiller, Bettelheim, Rösler,…
que des messieurs qui avaient au moins des cheveux blancs, sinon morts.
mais autres temps, autres moeurs !
sonka a eu la même réflexion : mais il est russe !
PS : je ne connaissais pas Canetti. on apprend tous les jours sur AOX
PPS : c’est quoi pour vous la littérature allemande « terroir » pour vous ?
Comme le nom l’indique (Heimatliteratur): Storm, Reuter (Allemagne du Nord), Ganghofer, Rosegger, Nöstlinger (livres d’enfants à Vienne), Zoderer, Gatterer (Sud-Tyrol), Keller (Suisse), et tutti quanti…
inutile de dire que cette partie de la littérature n’a pas été abordée non plus.
Ps : les livres d’enfants de Nöstlinger, c’est vraiment de la littérature « terroir » ?
(je suis allée regarder quelques résumés)
C’est la Vienne profonde et prolétaire, Lalilou. Comme terroir, on ne fait pas mieux! Avec toujours un lexique à l’usage des « Piefkes ».
(mon fils a grandi avec ces livres!)
« terroir » je voyais plutôt cela comme « paysan », « proche de la terre ».
AOX vient de balayer un de mes à-priori sur la classification en littérature !
Non, terroir plutôt dans le sens de « Heimat », Heimatsliteratur! Bouseux et pue-la-sueur même combat!