Wormser Gastronomie

Quelqu’un ici connaîtrait-il des plats typiques de la ville de Worms, je m’intéresse à cette ville, comptant la visiter un de ces jours, notamment du fait de mon intérêt historique pour la période romaine (nombreux vestiges dans le Land de Rheinland-Pfalz), ce serait histoire de goûter quelques spécialités au passage :wink:

Je pense en premier lieu au « Pfälzer Saumagen »

Mais, le Palatinat est une région de tradition gastronomique, alors il doit y avoir des tas d’autres choses!
:wink:

PS; je vois que tu es aussi en Alsace où on le trouve aussi au rayon frais des supermarchés; ça doit d’ailleurs s’appeler :« estomac de porc farci » ou quelque chose de semblable!
:wink:

Merci, pas mal le passage de l’article sur Helmut Kohl :wink: Si ça peut se trouver dans le coin, c’est encore mieux :smiley:

C’est, si ma mémoire est bonne, à Deidesheim, sur la Pfälzische Weinstraße, à quelques kilomètres au sud de la petite ville de Bad Dürkheim, chère à mon coeur, que l’ancien chancelier avait son restaurant attitré, le « Deidesheimer Hof »!

J’en suis sûr à 95 %…pas à 100 %! :frowning:

PS; si tu te déplaces dans le secteur, ne rate pas la petite ville de Freinsheim, un petit bijou, entouré de murailles entre Bad Dürkheim et Frankenthal.J’y étais l’an dernier avec des amis allemands de longue date!

http://www.stadt-freinsheim.de/

:wink:

Exact, c’est ce restaurant! C’est précisé sur le site :sunglasses:

Worms, ville des Nibelungen! J’ai un faible pour cette histoire sombre et catastrophique - et profondément allemand.

Je suis moi-même un inconditionnel de la légende des Nibelungen, dans sa version de la Volsungsaga, c’est-à-dire celle qui exalte le dyptique Brunnhild-Siegfried, alors que la version plus germanique que nordique, reprise si je ne m’abuse par Richard Wagner dans sa pièce en 4 actes (finissant avec le Götterdämmerung), fait plutôt place à une histoire de trahison et à l’amour entre Kriemhild et Siegfried, mais les variations sont légères. Je suis d’accord pour dire que c’est une légende profondément germanique dans ses fondements - d’ailleurs, hélas! réappropriée par le NSDAP à l’ère totalitaire pour justifier l’« esprit allemand ».

Avec autant d’étoiles qu’un général d’armée (français), le Deidesheimerhof n’a pas l’air fait pour toutes les bourses!
En centre-ville, il y a un restaurant qui s’appelle le « Römischer Kaiser ». Il a changé de propriétaire il y a quelques années et est descendu en gamme. Mais il propose toujours une Schlachtplatte (assiette de cochonnailles) avec, entre autre, le célèbre Saumagen (panse de truie farcie ?) plébiscité par Helmut Kohl. C’est bien du même charcutier qu’au Deidesheimer, un flyer qui vous sera distribué en atteste.